Tristant Goulwenn

ULTRA-TRIATHLON

Le talent existe-t-il vraiment ?

Viens découvrir à travers cette vidéo ma vision du talent dans le sport ! Le talent existe-t-il vraiment ? https://youtu.be/kS0iEYSima8?si=UxEAM2rnDfxqJvGr Dans la vidéo « Le talent existe-t-il vraiment ? », Goulwenn Tristant (alias Monsieur Performance) explore le concept de talent dans le sport. Il introduit cette réflexion en partageant son expérience personnelle et en posant la question de savoir si le talent est réellement inné ou s’il peut être développé. Goulwenn, vainqueur de la Coupe du Monde d’Ultra-Triathlon en 2016, 2022 et 2023, explique que le talent est souvent évoqué dans les discussions autour des performances sportives, mais il suggère qu’il pourrait être lié à l’effort, la persévérance et la discipline plus qu’à des capacités naturelles. Il invite également les spectateurs à le suivre sur Instagram pour voir ses performances en direct, notamment lors d’une compétition où il participe à un X30 Ironman en Italie. La vidéo encourage à réfléchir sur la notion de talent et l’importance du travail acharné dans la réussite.

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De quelle manière commencer ou reprendre le sport ?

Viens découvrir à travers cette vidéo, de quelle manière j’ai repris le sport à l’âge de 22 ans. https://youtu.be/nB3plA23Lrc?si=o8dYOp9d_OMnLakZ Dans la vidéo intitulée « De quelle manière commencer ou reprendre le sport ? », Goulwenn Tristant (alias Monsieur Performance) partage son expérience et ses conseils pour ceux qui souhaitent débuter ou reprendre une activité sportive. Il revient sur son propre parcours, expliquant comment il a repris le sport à l’âge de 22 ans après une période de pause. Goulwenn encourage les spectateurs à surmonter les obstacles, qu’ils soient d’ordre familial, professionnel, ou dus à un manque de motivation, en leur offrant des stratégies pour se remettre en forme. Il espère inspirer ceux qui envisagent de commencer une nouvelle activité ou de se remotiver après une longue pause. Il insiste également sur l’importance de rester motivé et de s’engager progressivement, tout en invitant les spectateurs à s’abonner à sa chaîne pour recevoir d’autres conseils liés au sport et à la performance.

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Retour sur mon x10 Ironman
en Estonie
🏊38 km🚴1800km🏃422km

Viens découvrir à travers cette vidéo, le résultat que j’ai obtenu lors de mon déca Ironman one per day à Vinni en Estonie pour la troisième épreuve de la coupe du monde d’ultra-triathlon.   https://youtu.be/ZdCe8sKqhpg?si=QRshR-VaRbPB9k90 Dans la vidéo intitulée « Retour sur mon x10 Ironman en Estonie – 🏊 38 km 🚴 1800 km 🏃 422 km », Goulwenn Tristant (Monsieur Performance) partage son expérience et ses impressions sur son Déca Ironman en Estonie. Cette compétition consiste à réaliser un Ironman par jour pendant 10 jours, soit : 38 km de natation, 1800 km de vélo, 422 km de course à pied (10 marathons). Goulwenn revient sur cet enchaînement exigeant de compétitions, dans le cadre de la Coupe du Monde d’Ultra-Triathlon. Il explique qu’après avoir participé à un triple Ironman en Allemagne, il s’est rendu directement en Estonie en voiture pour cette épreuve sans pause. La vidéo met en lumière ses défis physiques et mentaux durant cette compétition extrême et son retour d’expérience, en partageant comment il a géré cet enchaînement de compétitions intenses de juin à septembre, la période clé pour les ultra-triathlons.

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Quels sont mes objectifs pour le x30 Ironman
🏊114km🚴5400km🏃1266km

Viens découvrir à travers cette vidéo, les objectifs de course que je me suis fixé pour ma participation au triple déca Ironman (x30 Ironman) à Desenzano del Garda en Italie, pour la cinquième épreuve de la coupe du monde d’ultra-triathlon.  https://youtu.be/hECgCvchqQw?si=f2-s6hcU19hwtK5O La vidéo intitulée « Quels sont mes objectifs pour le x30 Ironman – 🏊 114km 🚴 5400 km 🏃 1266 km » a été publiée par Goulwenn Tristant, également connu sous le nom de Monsieur Performance. Goulwenn est un athlète triathlète ultra-endurant, ayant remporté la Coupe du Monde d’Ultra-Triathlon en 2016, 2022 et 2023. Dans cette vidéo, il présente ses objectifs pour une course particulière : un X30 Ironman, qui représente un immense défi d’endurance. Cette épreuve consiste à : 114 km de natation 5400 km de vélo 30 marathons consécutifs (1266 km de course à pied). Cette compétition fait partie de la Coupe du Monde d’Ultra-Triathlon, et Goulwenn explique qu’il s’agit d’une course unique en continu. Il invite également ses abonnés à le suivre sur Instagram pour suivre ses mises à jour en direct pendant l’événement. La vidéo se concentre sur ses ambitions, ses défis à venir, et une incitation à suivre son parcours à travers ses plateformes sociales.

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« Je suis prêt »
x30 Ironman en continu
🏊114km🚴5400km🏃1266km

Viens découvrir à travers cette vidéo, de quelle manière je me suis préparé physiquement et mentalement pour la triathlon le plus long et plus dur au monde ! 114 km de nage, 5400 km de vélo et 1266 km de course à pied !  https://youtu.be/k-tyuSzmq18 Dans cette vidéo, Goulwenn Tristant décrit son défi monumental de participer à un X30 Ironman en continu. Ce format implique de multiplier les distances d’un Ironman standard par 30, soit : 114 km de natation,5400 km de vélo,1266 km de course à pied (30 marathons consécutifs).Contrairement au format « un Ironman par jour » sur 30 jours, cette fois, il doit terminer chaque discipline avant de passer à la suivante. La compétition se déroule en Italie, et c’est la première fois qu’un x30 Ironman en continu est organisé. Cette épreuve fait partie de la Coupe du Monde d’Ultra-Triathlon, qui inclut des compétitions allant du double au x30 Ironman. Pour se préparer, Goulwenn a participé à plusieurs manches de la Coupe du Monde d’Ultra-Triathlon, dont un quintuple Ironman en juin. Il explique que sa préparation physique, bien qu’interrompue brièvement par une blessure, a été intense avec plusieurs compétitions et un entraînement rigoureux en natation, vélo et course à pied.

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RESULTATS ULTRA-TRIATHLON

France – Chamonix
Summum project
3.8 km de nage
180 km de vélo
42.2 km de course avec ascension du Mt Blanc (4810m)
17 juillet 2024

Dans cet article, je t’invite à venir revivre mon défi du Summum project. Un Ironman dans la vallée de Chamonix avec la particularité de la course à pied qui se termine au sommet du Mt Blanc à 4810 mètres. Au programme : 3.8 km de nage / 180 km de vélo et 42.2 km de course à pied. Le Summum project Le Summum project n’a rien à voir avec la coupe du monde d’ultra-triathlon, c’est un défi personnel, une compétition seul avec un chrono. Il est né dans l’esprit de Cyril Blanchard, un athlète qui a battu le record de l’Enduroman au départ de Londres : 170 kilomètres de course à pied jusqu’à la côte, 40 kilomètres de natation pour traverser la Manche puis 300 kilomètres à vélo jusqu’à Paris. Cyril a voulu créer une compétition dans le même esprit, avec une difficulté sur la course à pied au lieu de la nage, à travers une arrivée en haut du Mont-Blanc à 4810 mètres. Un défi qu’il a réalisé en en 23 heures 18 en 2021 au départ de Condes, à 180 kilomètres de Chamonix, depuis le lac de Coiselet. Il a ouvert cela au public et en 2023 ; un Belge a alors validé la natation et le vélo, mais abandonné durant l’ascension du Mont-Blanc. Lorsque Cyril m’en a parlé, j’ai tout de suite trouvé ce challenge excitant et l’ai casé dans mon planning sportif de 2024 entre deux courses de coupe du monde. Mon objectif consistait à battre le record établi par Cyril en descendant sous les 23 heures. Je disposais d’une « fenêtre de tir » le 15 juillet et ai organisé cela avec un guide de haute montagne solidement expérimenté, Tony, et un cameraman professionnel, Bertrand, habitué à filmer à très haute altitude. C’était deux semaines après Colmar, lors de mon quintuple Ironman, j’avais bien récupéré. J’y suis allé sans stress. Ce défi représentait 3,8 kilomètres de nage dans un lac, 180 kilomètres de vélo sur un dénivelé de 3000 mètres puis l’ascension du Mont-Blanc que j’avais réalisée à deux reprises. A priori, rien d’insurmontable. Je me suis rendu en voiture à Chamonix où j’ai récupéré les affaires que j’avais réservées pour l’ascension. Le vendeur connaissait mon parcours sportif et m’a encouragé : Tu as choisi un très bon guide, Tony est un pro. J’ai ensuite fait les courses avant de me rendre à l’hôtel. Le lendemain, j’avais rendez-vous dès 6 heures au téléphérique avec Tony pour faire connaissance et qu’il évalue mon niveau. J’y étais, par contre, il y a de grosses intempéries dans la nuit et le premier téléphérique a été décalé à 8 heures. Nous sommes montés à 3800 mètres, vers l’Aiguille du Midi, et avons commencé la randonnée. Je pensais que ce serait paisible mais cela a vite viré à l’escalade, nous grimpions et descendions de gros rochers, c’était « pêchu ». Nous sommes arrivés à un mur naturel d’environ cinq mètres de haut, sans prise visible, m’arrachant cette question : Et là on va où, Tony ? En haut. Comment on monte ? Je passe devant, tu me regardes faire. Il est monté comme un chat en utilisant une petite fente où glisser les doigts et de minuscules trous pour les crampons. Je me sentais incapable de l’imiter. J’ai finalement réussi, en galérant et en le maudissant dans mon for intérieur. Puis nous avons continué la randonnée. Au bout de trois heures, le parcours étant terminé, nous avons repris le téléphérique pour Chamonix où nous avons bu une bière bien méritée. Il s’est dit fier de moi et rassuré sur mes capacités. Un ami pompier, Guy, nous a rejoints pour assurer ma logistique et épauler Bertrand, avec ses drones et son matériel photo et vidéo. Il est venu avec nous à Condes au camping où Bertrand nous attendait. Le soir, nous avons mangé une bonne pizza et à 21h30, nous étions couchés. J’ai bien dormi. Réveil à 6h30. Nous avons pris le petit déjeuner, rangé les tentes et rallié le lac pour l’épreuve de natation. Cyril Blanchard nous a rejoints en observateur pour valider ma prestation. J’avais loué une borne GPS et partagé le lien avec ceux qui me suivaient. A 8h15, j’ai pris le départ dans le lac pour 3,8 kilomètres en sachant pertinemment que ce serait plutôt 4 voire plus car en eau naturelle, je ne nage pas droit. Tout s’est bien passé et j’en suis sorti après 1h48 de nage. Je me suis séché, changé et ravitaillé en m’accordant 25 minutes de pause. Et c’est reparti pour 180 kilomètres de vélo, une assez faible distance par rapport à mon expérience, mais avec un très fort dénivelé et ça change tout ! Le parcours était préenregistré sur le GPS et j’étais concentré sur la lecture de l’appareil, sur la route, sur la circulation, sur l’effort à fournir… je n’étais pas à l’aise du tout. D’habitude, je circulais sur des boucles, façon automate ; là, j’étais plutôt en mode « orientation ». Heureusement, le GPS m’a bien guidé. Je montais les cols sans trop forcer, tout excité d’être suivi sur Internet par des centaines ou peut-être des milliers de personnes. Vers le 50ème kilomètre, le GPS m’a fait prendre de mauvaises directions. Il y avait des travaux, des déviations… cela m’a quelque peu agacé. J’ai commencé une ou deux ascensions pour rien, fait demi-tour, perdu beaucoup de temps, de l’ordre de 1h45, sur ces 180 kilomètres que j’ai finalement bouclés en 9h19 au lieu des 7h15 envisagées. Je suis arrivé sur le parking de tramway de Saint-Gervais avec deux heures de retard. Deux heures précieuses : je risquais de louper le dernier tramway, le lendemain lors de la descente du Mt Blanc, m’obligeant à descendre à pied depuis le nid d’aigle. Avant de démarrer la course à pied, j’ai passé 22 minutes à me changer et ravitailler. Les enfants d’un ami étaient là pour m’encourager et m’ont offert des dessins, cela m’a touché et donné du peps. Je suis parti vers le Nid d’aigle où j’avais rendez-vous avec

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Retour sur mon triple Ironman de Lensahn en Allemagne 🏊🚴🏃

Viens découvrir à travers cette vidéo, le résultat que j’ai obtenu lors de mon triple Ironman à Lensahn en Allemagne pour la seconde épreuve de la coupe du monde d’ultra-triathlon.  https://youtu.be/vPl_F1S_QQo La vidéo de Goulwenn Tristant, alias Monsieur Performance, est un récit détaillé de son expérience lors de son triple Ironman à Lensahn, une compétition d’ultra-triathlon particulièrement éprouvante. Voici un résumé détaillé des principaux points abordés dans la vidéo : Contexte de la Compétition : Lensahn est la deuxième épreuve de la Coupe du Monde d’ultra-triathlon pour Goulwenn en 2024, après un quintuple Ironman et un Ironman avec une ascension du Mont-Blanc. Ce triple Ironman comprend 11,4 km de natation, 540 km de vélo, et 126,6 km de course à pied. Goulwenn explique qu’il est arrivé à cette compétition avec des doutes et une grande fatigue accumulée lors de ses précédentes épreuves, notamment l’ascension du Mont-Blanc. Préparation et Défis : Il décrit les difficultés rencontrées lors de la natation, où il a pris conscience qu’il n’avait pas complètement récupéré de ses efforts précédents. Il a nagé plus lentement que d’habitude, ce qui l’a un peu démoralisé. Lors de la phase de vélo, il a bien géré la première nuit sans dormir, mais les 180 derniers kilomètres ont été très éprouvants, avec une fatigue importante et un manque d’énergie. Il a dû se battre pour terminer cette phase. Objectifs et Réalisation : Malgré ces difficultés, Goulwenn ne perd pas de vue ses objectifs initiaux : passer sous les 48 heures et, idéalement, se rapprocher des 45 heures. Cependant, il réalise rapidement que ces objectifs deviennent inaccessibles en raison de la fatigue accumulée. Lors des trois marathons qui suivent la phase de vélo, Goulwenn commence fort mais finit par être contraint de ralentir et de marcher, notamment dans les derniers kilomètres. Leçons Apprises et Réflexions : Goulwenn termine l’épreuve en 55 heures et 43 minutes, son pire chrono sur cette compétition. Malgré cela, il reste fier d’être finisher d’un triple Ironman. Il réfléchit sur les leçons apprises, notamment sur la gestion de l’énergie et de la récupération. Il se questionne également sur sa capacité à participer à la prochaine épreuve en Estonie, un déca Ironman, prévu seulement une semaine après Lensahn. Conclusion et Invitation à Suivre : La vidéo se termine par une invitation à suivre ses prochaines compétitions sur ses réseaux sociaux et à poser des questions sur ses expériences. Il annonce également la sortie prochaine d’un reportage sur cette compétition. Goulwenn Tristant partage avec transparence les hauts et les bas de sa préparation et de sa participation à cette épreuve, tout en mettant en avant l’importance de la récupération et de la gestion de l’énergie dans les compétitions d’ultra-endurance.

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Les 5 conseils indispensables en ultra endurance 🚨

Viens découvrir à travers cette vidéo, les 5 conseils indispensables en ultra endurance… https://youtu.be/KdXaNP0hqnI La vidéo que vous avez partagée est intitulée « Les 5 conseils indispensables en ultra endurance » et est présentée par Goulwenn Tristant, alias « Monsieur Performance », un athlète spécialisé en ultra triathlon. Dans cette vidéo, il partage cinq conseils essentiels pour ceux qui pratiquent l’Ironman ou d’autres épreuves d’ultra endurance. Voici un résumé du début de la vidéo : Appliquer de la crème solaire : Goulwenn insiste sur l’importance de mettre de la crème solaire même sous la combinaison de natation. La réverbération du soleil sur l’eau peut causer des brûlures, surtout sur les zones non couvertes comme le visage, les poignets, et les chevilles. Il recommande d’utiliser une crème solaire résistante à l’eau avec un indice de protection élevé (SPF 50). Utiliser de la pommade pour éviter les irritations à vélo : Il conseille d’appliquer une pommade comme le Bepanthen sur les zones sensibles du corps, en particulier le postérieur, pour éviter les irritations dues à la friction et à la transpiration lors de la longue phase de vélo. Cela permet d’éviter des douleurs qui pourraient obliger à abandonner la course. Faire des pauses pour se reposer : Ne pas hésiter à faire de petites siestes pendant la course, surtout lors des moments de grande fatigue. Une pause de 10 à 20 minutes peut permettre de recharger les batteries et de repartir avec plus d’énergie, ce qui est souvent plus efficace que de continuer à avancer à un rythme très lent. Traiter les ampoules dès qu’elles apparaissent : Dès qu’une ampoule se forme ou qu’une irritation est ressentie, il est crucial de s’arrêter pour la soigner. Cela évite que l’ampoule ne s’aggrave, ce qui pourrait rendre la course impossible. Goulwenn recommande d’utiliser des pansements spécifiques, comme les Compide, et de percer les ampoules pour les drainer avant d’appliquer un pansement. Gérer ses émotions pendant la course : La course en ultra-endurance est marquée par des hauts et des bas émotionnels. Goulwenn conseille de ne pas se laisser emporter par un regain d’énergie momentané en accélérant trop, car cela pourrait conduire à un épuisement rapide. Il est préférable de rester constant et de garder de l’énergie pour maintenir un bon rythme sur la durée. Ces conseils sont conçus pour aider les athlètes à mieux gérer les défis physiques et mentaux de l’ultra-endurance.

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Résultat de mon Ironman le plus haut du monde 🗻🏊🚴🏃

Viens découvrir à travers cette vidéo, le résultat que j’ai obtenu lors de mon défi du SUMMUM-PROJECT. Un Ironman, avec l’arrivée au sommet du Mont Blanc à 4810 mètres ! https://youtu.be/mp0YH51qxr0?si=I0ARc9m7BCdKOubS La vidéo est publiée par Goulwenn Tristant sur sa chaîne YouTube « Monsieur Performance ». Elle porte le titre « Résultat de mon Ironman le plus haut du monde 🗻🏊🚴🏃 » et dure environ 31 minutes. Dans cette vidéo, Goulwenn Tristant revient sur sa participation à l’événement sportif « Summum Project », un Ironman unique dont l’arrivée se fait au sommet du Mont-Blanc. Il explique comment la course s’est déroulée, partage ses impressions, et révèle s’il a réussi à devenir le deuxième finisher de cet événement exigeant. Goulwenn encourage également ses spectateurs à s’abonner à sa chaîne, à activer les notifications, et à le suivre sur Instagram pour rester informé de ses activités sportives, notamment la Coupe du Monde d’ultra-triathlon.

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