Dans cet article, je t’invite à venir revivre mon Marathon de Paris.
Au programme : 42.2km de course à pied sur les pavés du bitume Parisien.
« La logique vous conduira d’un point A à un point B, l’imagination et l’audace vous conduiront où vous le désirez »
– Albert Einstein
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Avril, le rendez-vous incontournable du marathon de Paris.
C’est pour moi, mon 3ème marathon et j’ai toujours en tête de vouloir me rapprocher des 3 heures 15 minutes ou au moins faire mieux que l’année dernière où j’avais du me contenter d’un chrono de 3 heures 40 minutes. Je ne suis pas au mieux de ma condition physique du à des douleurs et hématome aux jambes avec mes deux combats une semaine auparavant. Mais peu importe, rêve ou espoir, il me faut garder cet objectif en ligne de mire. Comme pour les années précédentes, je m’y rends avec des amis de la caserne où encore une fois, j’airai comme chaque année, le privilège de faire la barrière humaine entre les élites et le restant du peloton.
La course
Nous sommes encore près de 40.000 coureurs, qui le temps d’une journée, auront le privilège de foulée le bitume de Paris sans y être gêné par la circulation ambiante des voitures et de la pollution.
Paris est à nous. L’ambiance y est bonne et détendu, j’y retrouve mes camarades de caserne lors du retrait des dossards et tranquillement, nous nous dirigeons vers les sas de dépars. Il n’y a pas de pression particulière mais juste de l’excitation à vouloir en découdre avec ce marathon.
Le dépars est donné et comme à son habitude, nous nous faisons aspirer par les premiers et partons sur un rythme assez rapide. Mon corps sera vite me dire de ma calmer et c’est tout naturellement que je ralentirai mon allure après quelques kilomètres d’euphorie. La course se passe bien jusqu’au fameux mur des 30-35ème kilomètres. Là encore une fois c’est la panne sèche, obligé de m’arrêter marcher au deux derniers ravitaillement. Je ne suis plus dans les temps imparti pour espérer un chrono de 3 heures 15 minutes, mais tout de même sur un bon rythme pour améliorer mon dernier chrono et pourquoi passer sous les 3 heures 30 minutes. La dernière ligne droite donnera son verdict et je passerai la ligne d’arrivée en 3 heures 33 minutes. Bien en de ça de mes objectifs, mes tant pis, je garde le rythme à enchainer les compétitions et ce ne sera que parti remise pour l’année prochaine, enfin je l’espère. Place à la récupération maintenant.