TOUS MES RESULTATS

TOUS MES RESULTATS

Trail des Templiers 
28 octobre 2007

Dans cet article, je t’invite à venir revivre mon tout premier Trail de 68 km lors du prestigieux festival des Templiers dans la ville de Nant (12). « L’homme ne se découvre que lorsqu’il se mesure à l’obstacle »  – Antoine de St Exupéry Mon tout premier Trail. Enfin nous y voila ! Me voila fraichement arrivé au Centre des formations des cadres des Pompiers de Paris pour ma nouvelle mutation, qu’une équipe Trail s’est mise en place. Problème, les inscriptions sont closes et il n’y a pas de place pour moi. Ma petite étoile me fera un signe, en l’absence de l’Adjudant BONNET qui ne pourra malheureusement pas s’y rendre. Il me donne gracieusement sont dossard et me demande juste d’en faire honneur. Chose entendu. C’est mon premier Trail, et je ferrai tout mon possible pour porter le dossard le plus haut possible au classement. Je ne suis pas vraiment préparé et n’est jamais couru plus d’un semi-marathon en compétition. Je récupère mon dossard tout juste quelques semaine avant le départ, mais le faite d’avoir vendu ma voiture et de faire tous mes déplacement à vélo pendant maintenant près de 5 mois, m’ont énormément apporté dans ma préparation. Je peaufine mes derniers entrainements avec l’équipe Trail de la caserne, et me sens prêt pour le grand jour. Ce Trail je vais le terminer et proprement ! Week end du 27-28 octobre 2007, Nant, Aveyron (12), nous y voila. Deux équipes se préparent pour une balade champêtre. La 1ère équipe de 6, menée par le Capitaine Le Cœur, s’élance pour 18 km et 1800 mètres de dénivelée + et -, non sans avoir lancé un lièvre sous les traits du CCH SCHOEPFF-Meyer. Celui-ci se classe dans les 40 premiers avec un temps de 1 h55 min. Pendant ce temps, la deuxième équipe se préparait, dès 5h30, pour une petite promenade dominicale de 68 km et 5800 mètres de dénivelé + et -. La course Porté par la sono, l’hymne des Templiers résonne dans le village en effervescence. Il n’est que 5h28 du mat’ mais des milliers de personnes se masquent déjà, sur et autour de la ligne de départ. Ils sont arrivés, il y une heure, deux heures parfois, après une nuit courte, stressante, inconfortable pour les moins chanceux. Depuis, ils tournent en rond, boivent thé et café chauds, ingurgitent brioche et fruits secs. Nous sommes assis au milieu de la foule. Pour la plus part d’entre nous, c’est notre première expérience du Trail en tout cas pour moi ça lès, c’est même mon tout premier. Il n’y a aucune angoisse ni de stresse de partir mais bien un sentiment de joie et d’excitation. Je suis heureux ! Enfin ce jour est arrivé. Il est 5h28, nos collègues pompiers récupèrent nos vêtements chauds avant de trouver une petite place sur le parcours pour assister au spectacle. Au micro, l’organisateur, livre conseils et encouragements, puis replace la course dans son contexte humanitaire : «  Une pensée pour les enfants du Darfour, victime du désarroi et de la folie des hommes ». Il est 5h30 et, sur la ligne, les visages se ferment, les cœurs s’accélèrent. Coup de fusil. C’est parti. Les fumigènes montent dans le ciel. Magique. Lampe frontal sur le front, 3000 allumés s’enfoncent dans la nuit. Pour un exploit sportif. Pour une aventure humaine. Le 13ème  Trail des Templiers sera remporté par l’intouchable Thomas LORBLANCHET en 6h09, sans vraiment rencontrer de véritable rival à sa hauteur. Côté dame, le petit bout de femme Béatrice FANGET, remporte les Templiers en 08h02. Côté pompiers, le 1er des 7 templiers franchira la ligne d’arrivée en 09h20 en la personne du Lieutenant QUEVEAU, que je talonne de près, seulement de 3 minutes. L’arrivée des autres concurrents s’est échelonnée au cours de l’après-midi. La prime de course (un repas) fut empochée sans hésitation par l’ensemble des participants. Cela restera une expérience inoubliable pour moi que d’avoir été finisher du Trail des Templiers et de la plus belle des manières que de l’avoir terminé en 9h23 pour finir 384ème/2500. Du Trail, j’en reveux et rapidement !

Lire
TOUS MES RESULTATS

Semi-marathon de Cabestany 
Travailleur Catalan
10 octobre 2004

Dans cet article, je t’invite à venir revivre mon semi-marathon de Cabestany (66). Au programme : 21.1km de course à pied. « Vouloir arriver, c’est avoir déjà fait la moitié du chemin » – Alfred Capus Confirmer ma bonne saison sportive Cinq cross de 10 à 20 km se sont écoulés depuis mon dernier ou plutôt premier semi-marathon et je m’éclate toujours autant à m’inscrire à des courses les week end proche de chez moi. La saison de course à pied prendra bientôt fin et je voulais à nouveau me mesurer à un semi-marathon pour faire le point avant de clôturer la saison. Pour cette course, il s’agit d’un petit rassemblement de l’association des travailleurs Catalan. Pour l’occasion, nous ne sommes vraiment pas nombreux. Cette course regroupe tout juste une soixantaine de coureur pour le départ. Moi ça me va très bien, de quoi pouvoir espérer faire un bon classement, mais il m’importe surtout d’améliorer le chrono de mon premier semi-marathon du début d’année. Soleil radieux ce dimanche à Cabestany pour le 7ème semi marathon. Vingt et un kilomètres plus tard et quelques mètres, j’améliorerai mon chrono de deux minutes en terminant en 1 heure et 37 minutes. Je suis satisfais de moi ainsi que des sensations que j’ai pu prendre pendant la course. Au classement, je terminerai à la 22ème place sur 60 arrivants et finirai à 20 minutes du premier. Me reste encore l’occasion de participer à quelques cross avant de clôturer définitivement la saison 2004 et de pouvoir enfin me projeter sur 2005 avec quelques chronos de référence pour maintenant les améliorer. 2005, m’en dira d’avantage sur mes chronos et j’espère mes progrès réalisé. Place de nouveau au cross et aux courtes distances.

Lire
TOUS MES RESULTATS

Semi-marathon
  Narbonne-Narbonne plage
18 avril 2004

Dans cet article, je t’invite à venir revivre mon semi-marathon entre Narbonne et Narbonne plage (11). Au programme : 21.1km de course à pied. « On peut toujours plus que ce que l’on croit pouvoir »   – Joseph Kessel  Le départ d’un renouveau sportif L’année 2004 sonnera comme ma reprise sur le plan sportif et plus particulièrement sur celui de la course à pied. Me voilà à 22 ans avec l’envi de reprendre le sport intensivement et surtout je désire vraiment m’inscrire dans la durée. Autant mon marathon en 1994 à 12 ans et mes 20 km en 1997 à 15 ans avaient été une belle réussite sur un plan sportif, autant cela n’avait rien donné dans la durée. Il me faut revoir mon carnet de route et aussi me remotiver. Cela passera par le plaisir. Après avoir enchainé 5 cross en ce début d’année 2004 allant de 10 à 18 kilomètres, je décide dans cette continuité de m’inscrire à mon premier semi-marathon. Celui-ci, se fera à Narbonne. La 14ème édition de la course à pied « La Septimanienne » a tenu toute ses promesses. Cette classique, organisée par l’AC Narbonne Méditerranée, relie Narbonne à Narbonne-plage. Ca tombe très bien, moi qui suis nostalgique de mon enfance, se sera l’occasion de retourner dans une ville où j’y ai vécu deux ans, avec en plus une arrivée en bord de plage. Royale. L’occasion également pour mes parents de revoir la ville et de ce planifier une randonnée. Pour ma part, je suis bien en jambes et aux fils de mes courses, je commence à trouver de bonne sensation et j’apprends petit à petit à me connaitre. La course Le départ de la course, sera à donné à la ZAC de Bonne Source, nous contourneront ensuite le massif de la Clape en empruntant l’ancienne route de Gruissan et ensuite, nous longerons le littoral entre la cité de Barberousse et la station balnéaire narbonnaise. Autant dire que le parcours est très roulant. Nous sommes un peu plus de 200 au départ de ce semi marathon, ce qui n’empêche qu’il y a quelques athlètes d’un très bon niveau. La course se déroulera sans encombre pour moi avec un rythme régulier tout au long de la course avant de finir en trombe sur les derniers mètres pour finir en 1 heure et 39 minutes, soi 30 minutes derrière le premier arrivant. Ce chrono, me classera à la 93ème place sur 204 arrivants. Voilà mon premier chrono référence sur un semi-marathon. Me restera plus cas l’améliorer par la suite. La suite sera la reprise des cross avant de ce re confronté à nouveau à un semi-marathon en fin d’année.

Lire
TOUS MES RESULTATS

20 Km de Paris
19 octobre 1997

Dans cet article, je t’invite à venir revivre mes 20 km de Paris en famille, accompagné de ma mère, pour ma toute première course officielle. Au programme : 20km de course à pied sur les pavés du bitume Parisien. « Attendre d’en savoir assez pour agir en toute lumière, c’est se condamner à l’inaction »  – Jean Rostand Envi de faire comme mes parents Trois ans se sont écoulé depuis cette fameuse distance marathon entre St Pierre la mer et Narbonne et je n’ai rien fais entre temps. J’ai actuellement 16 ans. Cependant, je sais que la course à pied est en moi et des envies de compétitions se font sentir. J’ai toujours été très admiratif du tableau des médailles exposé dans le salon qu’ont glané mes parents sur les 20 km de Paris et le Paris-Versailles. Cela m’a plus ou moins impressionné et à mon tour je voulais avoir les miennes aussi. Après des échanges sur le sujet avec mes parents, ma mère décide de m’inscrire et de m’accompagner pour les 20 km de Paris. Elle qui avait arrêté de courir depuis déjà quelques années décide de remettre ces chaussures vieille de plus de 20 ans ! La course C’est fièrement que je me dirige par le train sur Paris avec ma mère, pour m’aligner, pour ce qui sera ma toute première compétition officielle. Encore une fois, même comportement que 3 ans auparavant. J’ai oublié ce fameux marathon et mon seul objectif et de franchir la ligne d’arrivé et si possible devant ma mère. Le départ pris, j’enchaine à mon rythme les kilomètres assez facilement et je ne tarde pas à laisser ma mère derrière pour faire ma course. Apres 2-3 pauses et quelques centaines de mètres où j’aurai du marcher, je franchi la ligne d’arrivée après 02h05 d’effort avec 45 min d’avance sur ma mère et une honorable 7080ème place sur plus de 10.000 participants. Je suis vraiment contant de moi et aussi content de voir ma mère franchir à son tour la ligne d’arrivé. Nous revenons fièrement en train à la maison avec 2 belles médailles, qui ne tarderont pas à prendre leurs places sur le tableau des médailles. Première compétition réussi, mais comme pour ma distance marathon, ces 20 km de Paris, me serviront pas de moteur pour la suite. Pourquoi ? Je n’en sais rien ! La motivation est présente mais je pense qu’un manque d’accompagnement est du à cet arrêt. Cette fois, il me faudra patienter 7 ans pour retrouver le chemin de la compétition par mes premier cross dans la région de Perpignan, avant de connaitre vraiment ce que je veux depuis maintenant plusieurs années. C’est courses, se sont des Trails longues distances que je veux et rien d’autre et cette fois ci j’ai grandi et suis devenu suffisamment mature pour me motiver tout seul à faire ces courses.

Lire
TOUS MES RESULTATS

Marathon en solitaire
à 13 ans
St Pierre la mer – Narbonne A/R
Juillet 1994

Dans cet article, je t’invite à venir revivre une expérience UNIQUE ! Mon tout premier marathon en solitaire entre St Pierre-la-mer et Narbonne A/R à seulement 13 ans ! Au programme : 42.2 km de folie avec pour simple motivation, l’envie de revoir la ville de Narbonne.  « Tout le monde savait que c’était impossible à faire. Puis un jour est venu un homme qui ne le savait pas. Et il l’a fait »  – Winston Churchill Ma naïveté et mon courage pour réussite Un an auparavant, nous venions de retourner habiter dans la région parisienne à Plaisir (78). Après avoir vécu 2 années à Narbonne, mes parents sont restés nostalgiques à cette région de l’Aude. Tout juste l’été arrive, que nous voila reparti dans cette belle région mais cette fois ci dans le but d’y passer des vacances farnienté. Seul soucis à la planification de ces vacances mes parents n’ont pu avoir les mêmes vacances et c’est avec une semaine de décalage entre les vacances de mes parents que nous nous rendons dans la petite ville St Pierre la mer (11). J’y descends en train avec ma mère et mon frère. Mon père nous rejoindra une semaine plus tard en voiture. Etre en vacances me va très bien mais aller voir la ville de Narbonne (11) où j’y ai vécu deux années me rend nostalgique. Je veux vraiment aller retourner voir cette ville et aussi retourner où j’ai vécu durant ces deux années. Devoir attendre mon père pendant une semaine pour y aller en voiture me semble trop long et y aller en transport me semble trop compliqué et de plus je n’aime pas ça. Comment faire pour y retourner au plus vite ? Je n’ai que 13 ans et n’est pas beaucoup de solution à moi pour m’y rendre. La course Je trouverai cette solution un matin alors qu’il faisait un soleil rayonnant ce qui m’a sans doute indirectement boosté mon moral et mental pour prendre ma décision dès plus naturelle.   Je me souviens, de ma mère pourtant très protectrice, mais n’allant aucunement à l’encontre de ma motivation. Après mettre changé en mode pseudo sportif et âpres 2 bisous à ma mère, je m’en vais rejoindre Narbonne en suivant la route par la Garigue. A ce moment là, pas d’application Mappy ou autre GPS pour m’indiquer combien de kilomètre séparent St Pierre la mer de Narbonne, ni même de téléphone portable pour rassurer ma mère pendant mon trajet. Je n’ai vraiment aucune idée de la distance que j’aurai à parcourir, ni même combien de temps cela me prendra. Et ce n’est seulement la semaine suivante en refaisant le parcours en voiture avec mes parents, que le compteur affiche 42 km aller-retour ! Peu importe, je n’ai pas envi de m’enquiquiner avec ces questions substantiel. Mon but n’est pas de savoir combien de kilomètre j’aurai à parcourir, ni même combien de temps cela me prendra, mais bien de revoir Narbonne coute que coute ! Aller, c’est parti pour rejoindre Narbonne. J’indique à ma mère que je serai de retour en fin d’après midi en toute naïveté sans même savoir quelle galère m’attendait. Rempli de confiance en moi et avec comme baguage ma motivation et une simple petite bouteille d’eau me voila parti. De mémoire, il était entre 11h et 12h. Avec beaucoup de recul, cette première expérience, m’a beaucoup appris pour la suite et je m’en sers encore  dans mon quotidien. Notamment, que ce poser des questions pour savoir si cela aurai été possible ou pas, aurai été source de motivation pour un échec. Au contraire, le faite de vouloir uniquement me rendre à Narbonne et sans même me soucier de tel ou tel difficulté, à fait inconsciemment, que je me suis programmé pour y arriver. Mon aventure commence plutôt bien, mais je me rends vite compte qu’il va falloir que j’économise un maximum d’eau. Ma petit bouteille de 50 cl sera juste pour arriver jusque Narbonne, surtout que sur le trajet, il n’y a ni ravitaillement et ni point d’eau. Je continu d’avancer et à certain endroit coupe un peu à travers la garigue mais toujours avec la route en visu pour ne pas me perdre. Au fil des kilomètre, ma randonné se durci, je commence un peu à fatiguer et le manque de nourriture commence à se faire sentir. Peu importe, il me faut continuer d’avancer vers mon objectif Narbonne. Les heures passe et toujours pas de Narbonne en vu, mais bien des kilomètres de garigue à perte de vue. Où je suis ? Dans combien de temps j’arriverai ? Voila des questions où j’aurai bien aimé avoir des réponses, mais de tout cela, rien n’est possible. Mon seul recours, continué d’avancer avec mes petites jambes. Je m’en rapporte à ma positive attitude à ne rien lâcher. Ce n’est seulement après plus de 3 heures d’effort, qu’enfin je reconnaitrai la dernière longue ligne droite qui nous amène à l’entrée de Narbonne où est situé un hyper marché. A ce moment là, je suis épuisé et n’est plus aucune ressource physique pour avancer. Je dois m’en remettre uniquement à mon mental pour continuer ce dernier kilomètre pour arriver à mi parcours. Je voulais retourner, là où nous avions vécu 2 années avec mes parents, mais il me fallait encore faire une heure de marche alors que j’avais encore le retour à effectuer, c’est-à-dire 21 kilomètres et physiquement, je n’en peu plus. Sur moi je n’ai rien, à part ma bouteille d’eau de 50 cl, vide depuis déjà bien longtemps. Pas le moindre centime ou même carte téléphonique. Ma priorité est de reprendre des forces pour pouvoir retourner au plus vite à St Pierre la mer, pour ne pas inquiété ma mère de mon retard. Je me dirige vers l’hyper marché et je me souviens, comme si c’était hier. Je me dirige vers le rayons des gâteaux et m’enfile plusieurs barre chocolaté Bounty et prend soin d’en mettre dans mes poches pour le retour. Pour la bouteille d’eau, je la troque

Lire