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Déca Ironman
Buchs – Suisse
20 août 2022

Dans cet article, je t’invite à venir revivre mon Déca Ultra-Triathlon à Buchs en Suisse pour la 7ème épreuve de la coupe du monde. Au programme : 38km de natation, 1800km de vélo et 422km de course à pied.   7ème manche de la Coupe du Monde d’Ultra-Triathlon   Je suis arrivé 48 heures en avance pour planter ma tante et tout organiser, aidé par une amie qui gérait ma logistique. Le départ avait lieu à 7 heures tous les jours et nous avions 20 heures pour terminer chaque Iron man. Je voulais terminer les premiers en moins de 14 heures afin de garder un temps de sommeil suffisant, sans tout donner. J’ai fini le premier en 13h30, sans forcer et sans être trop distancé par les premiers, donc satisfait de moi. Beat courait à domicile et voulait gagner, il a cherché à m’intimider. Nous avons mangé ensemble le premier soir et j’avais fini cinquième, à une demi-heure de lui, en troisième position. Il m’a titillé : Dis donc, si tu fais ça chaque jour, tu ne pourras plus me rattraper ! Il reste neuf jours d’épreuves ! Ne vends pas la peau de l’ours… Le deuxième jour, je suis arrivé sur le même chrono et Beat m’a encore pris sept minutes. J’étais surpris qu’il garde un si bon rythme, néanmoins, je me rapprochais. Le troisième jour, en natation, j’étais à moins de 15 minutes de lui. Au final, il n’était plus qu’à 5 minutes devant moi. J’étais confiant et, en effet, au quatrième jour, la tendance s’est inversée, il me prenait peu de temps en natation, nous étions à égalité au vélo et je lui reprenais du temps en course à pied. J’ai fini quatrième sur sept et Beat troisième, tandis que les deux premiers creusaient l’écart. Le premier étant parti très fort, je me disais qu’il ne tiendrait peut-être pas dans la durée. En tout cas, déjà, je rattrapais Beat. Les cinquième et sixième jours, à raison de 10 minutes par ci, 5 minutes par-là, j’ai pris la troisième place à Beat. Au dixième jour, j’avais 4h30 d’avance sur lui et terminait troisième au général. Il était vexé et ne me parle plus depuis. Cela lui passera… C’était mon deuxième podium de l’année et il me restait l’Autriche puis le Mexique. De bon augure. J’ai partagé mon plaisir avec tous mes proches, ravi d’être officiellement premier au classement mondial provisoire. 2022 était un copier/coller de 2016. J’hésitais à me rendre en Autriche. Il y a quasiment 1400 kilomètres de voiture pour y aller, ce n’est pas anodin. Et toute une logistique à gérer, pour une petite course. Cela en valait-il la peine ? Lorsque j’ai découvert qu’il n’y aurait que quinze participants et aucune tête d’affiche, j’ai considéré que oui, puisqu’un podium semblait envisageable. J’ai choisi d’y participer. Nous avons organisé mon absence, tant au niveau familial que professionnel. Voici les résultats officiels sur le site de la Fédération Internationale d’Ultra-Triathlon : -> https://www.iutasport.com/ultra-triathlon-results/results-2022/results-deca-ultra-triathlon-day-in-buchs-2022 CÉRÉMONIE D’OUVERTURE IRONMAN N°1 IRONMAN N°2 IRONMAN N°3 IRONMAN N°4 IRONMAN N°5 IRONMAN N°6 IRONMAN N°7 IRONMAN N°8 IRONMAN N°9 IRONMAN N°10 CÉRÉMONIE DE FERMETURE

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Triple Ironman
Lensahn – Allemagne
29 juillet 2022

Dans cet article, je t’invite à venir revivre mon triple Ultra-Triathlon à Lensahn en Allemagne pour la 6ème épreuve de la coupe du monde. Au programme : 11.4km de natation, 540km de vélo et 126.6km de course à pied.   6ème manche de la Coupe du Monde d’Ultra-Triathlon   J’y suis allé 72 heures avant le top départ afin de me reposer un peu. Nous étions cinquante athlètes inscrits. Je connaissais bien le site, sachant où planter la tente et comment m’organiser. La natation se déroulait en piscine, un bon point. J’ai fait le même chrono que lors des précédentes éditions, en 5 heures, avec 1h30 de retard sur les premiers. J’ai commencé le circuit vélo en sachant que ce serait long, j’allais passer plus de 24 heures en selle. Je suis resté sur les bonnes sensations de la Belgique. Jusqu’à 180 kilomètres, j’ai roulé à un bon rythme. A la nuit, la fatigue est venue me perturber. J’ai dû m’accorder deux pauses de 45 minute pour dormir, perdant le bénéfice de la première partie de cette course et redescendant au classement. Les 180 derniers kilomètres ont été laborieux, j’ai ralenti et fini en roue libre, pressé que ce calvaire se termine. J’ai fini en plus de 24 heures, heureux de retrouver le plaisir de la course à pied, sur un circuit qui me convenait parfaitement. A vélo, on est seul, on ne parle pas ; à pied, on échange avec les autres, c’est plus agréable. J’ai couru sur un rythme assez soutenu. Pourtant, à ma grande surprise, mon classement a peu évolué : au bout du premier marathon, j’étais 18ème. Je suis quand même resté positif. La deuxième nuit est arrivée. Je n’ai pas ressenti de coup de fatigue. J’ai avalé un Doliprane et une Red bull et couru le deuxième marathon à un rythme plus soutenu que le premier, gagnant des places, jusqu’à arriver dixième. En revanche, à 30 kilomètres de l’arrivée, j’ai senti un coup de pompe et ralenti. Soit, je garderais donc la dixième place. Cela m’allait, pas question de forcer et me blesser. Les années précédentes j’étais vingtième, malgré un meilleur chrono, le niveau général étant moins bon cette année. Nous n’étions que trois à avoir participé à quatre courses, je gagnais des points au classement général et me positionnais dans le haut du panier, alimentant l’espoir d’un titre mondial. Les vacances sont arrivées, j’ai rejoint ma femme et nos amis dans le sud de la France où nous avions loué une maison avec piscine. De retour en région parisienne, j’ai préparé la logistique de l’épreuve suivante. A Buchs, il y aurait un Iron man par jour pendant dix jours, c’est-à-dire dix fois 3,8 kilomètres de nage, 180 à vélo et 42,2 de course à pied. Je connaissais cette épreuve et cela s’était très bien passé en 2016. Pas d’inquiétude, donc. Je perdais du poids et retrouvais de très bonnes sensations, tous les voyants étaient au vert. Nous étions sept au départ, un podium était possible et il me rapporterait énormément de points. Ce serait un grand pas en avant pour me positionner en numéro 1 mondial. J’étais motivé. Voici les résultats officiels sur le site de la Fédération Internationale d’Ultra-Triathlon : -> https://www.iutasport.com/ultra-triathlon-results/results-2022/results-triple-ultra-triathlon-in-lensahn-2022

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Double Ironman
Haacht – Belgique
16 juillet 2022

Dans cet article, je t’invite à venir revivre mon double Ultra-Triathlon à Haacht en Belgique pour la 5ème épreuve de la coupe du monde. Au programme : 7.6km de natation, 360km de vélo et 84.4km de course à pied.   5ème manche de la Coupe du Monde d’Ultra-Triathlon   C’était une épreuve en petit format, un double Iron man, avant une course toutes les deux ou trois semaines, et j’ai appris que nous n’étions que six inscrits en Belgique, ce qui était psychologiquement favorable. Même si ce petit format rapporte peu de points, cette course pouvait me servir de tremplin. Cela me servirait également d’entraînement pour la suite. En outre, ce petit déplacement générait peu de frais. J’ai rejoint le site en voiture et deux athlètes ayant attrapé la Covid, on nous a annoncé que nous ne serions que quatre au départ. Dont deux que j’avais battus lors de précédentes épreuves. J’ai estimé pouvoir finir deuxième, voire premier, ce qui était très motivant. J’ai tout préparé et me suis accordé un peu de bon temps pour décompresser. Cette épreuve en Belgique était une première pour les organisateurs et j’ai trouvé l’ambiance très familiale, bien agréable. Petit bémol : la natation se déroulait dans un canal et non en piscine. Tant pis. Le départ a été donné à 10 heures pour 7,6 kilomètres de nage. Les trois autres m’ont distancé et je suis sorti avec une demi-heure sur l’avant-dernier, ce qui était plutôt pas mal par rapport à mes estimations. J’ai enfourché mon vélo pour un circuit de 360 kilomètres. Le premier tour m’a servi à reconnaître le parcours et à me favoriser avec les 20 mètres de pavés et les courbes. Ce circuit était plat, pas vraiment difficile. Mes jambes ont répondu présent, j’ai rattrapé le troisième, les kilomètres s’enchaînant sans difficulté particulière. J’ai même terminé ces 360 kilomètres sans avoir mis pied-à-terre, mangeant sur le vélo. Une première, pour moi. Par contre, j’étais toujours quatrième. Très proche du troisième, toutefois, et je le savais moins performant que moi en course à pied. Les 15 premiers kilomètres (sur 84) se sont bien passés, mais nous étions en période caniculaire alors, au lever du soleil, c’est vite devenu pénible. En début d’après-midi, la température de l’air atteignait les 40°. Cela s’ajoutait à la fatigue, j’ai souffert. J’ai tout de même pris la troisième place à Beat. Le deuxième, Mark, un Allemand, était troisième au classement mondial, mais je l’avais battu deux fois. Nous avons couru les 84 kilomètres en plein cagnard et j’ai terminé troisième, en 32 heures, soit 4 heures de moins qu’en Floride, malgré la température élevée. Un peu déçu de ne pas finir deuxième, j’étais quand même satisfait de ce podium. C’était le quatrième depuis que je pratique le triathlon. Je suis revenu à la maison avec une belle médaille de bronze, content de ce bel enchaînement avec ma sixième place à Colmar, sans blessure ni courbatures. J’avais deux semaines pour récupérer avant de participer au triple Iron man de Lensahn, dans le Nord de l’Allemagne, non loin de la frontière danoise. Là-bas, nous allions nager 11,4 kilomètres, pédaler 540 kilomètres puis courir 126 kilomètres. Ce serait ma quatrième édition en Allemagne et je savais que ce serait compliqué. Je ne rêvais pas de gagner, j’y allais plus pour rester sur une bonne dynamique. La course la plus importante à mes yeux était la suivante, un déca Iron man, en Suisse. L’Allemagne servirait à finir de m’y préparer. Voici les résultats officiels sur le site de la Fédération Internationale d’Ultra-Triathlon : -> https://www.iutasport.com/ultra-triathlon-results/results-2022/results-double-ultra-triathlon-in-haacht-2022

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Quintuple Ironman
Colmar – France
27 juin 2022

Dans cet article, je t’invite à venir revivre mon quintuple Ultra-Triathlon à Colmar en France pour la 4ème épreuve de la coupe du monde. Au programme : 19km de natation, 900km de vélo et 211km de course à pied. 4ème manche de la Coupe du Monde d’Ultra-Triathlon Je suis arrivé assez confiant à Colmar, même si la natation m’inquiétait un peu, parce que pour mes deux courses en eau vive, j’avais fini les épaules en feu. Et 19 kilomètres, c’était beaucoup. Bon… on verrait bien ! A Colmar, c’était la deuxième édition. Je connaissais beaucoup de concurrents alignés au départ et Monica était venue pour l’épreuve précédente, elle maîtrisait le contexte et a tout bien préparé. La tente plantée, il me restait à repérer les parcours. Pour le vélo, il était plat. Ouf ! Pour la course à pied aussi. Quant à la natation, elle se déroulait dans un bassin olympique de 50 mètres, où l’eau était chauffée et limpide à souhait. Tout semblait idéal. Le jour J, arrivant sur le parking de la piscine, j’ai vu un athlète hongrois courir vers moi. Je ne comprenais pas ce qu’il me criait mais, suivant du regard ce qu’il me montrait, j’ai découvert une voiture en train de prendre feu. J’ai prévenu les pompiers. Il s’est avéré qu’elle appartenait à un athlète hongrois. J’ai avalé une barre énergétique et des fruits, bu beaucoup d’eau et attendu le coup de sifflet, qui a résonné à 7 heures. Nous sommes alors partis dans nos lignes d’eau respectives. J’avais choisi « le couloir des cancres », celui des nageurs les moins rapides, que je partageais avec un Hongrois et une Française, la seule femme inscrite à cette épreuve. J’ai nagé à un bon rythme, sous la pluie, enchaînant tranquillement les longueurs. Au bout de 3 kilomètres, j’ai mangé et bu puis suis reparti. J’ai terminé les 19 kilomètres en 9 heures 16, avec six minutes d’avance par rapport à ma performance de 2016, année de mon titre mondial. J’étais très satisfait, ne m’attendant pas à finir en moins de dix heures ; en prime, je n’étais même pas à bout de souffle. Je me suis accordé quarante minutes pour me changer, manger, décompresser un peu, après quoi je suis monté sur mon vélo pour un parcours de 900 kilomètres. Bien sûr, c’est une distance énorme, cependant, j’étais tellement heureux que le parcours soit plat que je ne l’appréhendais pas. A l’issue de la natation, j’étais 14ème sur 15. Je devais remonter dans le classement, notamment en me rapprochant du Suisse, Beat, qui participait à toutes les grosses courses du championnat de triathlon, et qui se donnait les moyens d’aller chercher le titre mondial pour la deuxième fois, comme moi. C’était mon principal adversaire, voire le seul de nature à m’inquiéter. A 58 ans, Beat est l’athlète qui a participé au plus grand nombre d’Ironman au monde. Idéalement, je devais finir devant lui à Colmar puisqu’il avait terminé 3ème au Brésil et moi 4ème. Je suis monté sur le vélo à 17 heures et j’ai enchaîné les tours. Les heures ont passé. Je ne savais pas quelle stratégie adopter en termes de repos, combien d’heures dormir, à quel moment, alors j’ai observé les autres. Au final, je me suis fait piéger à mon propre jeu : quasiment tous les concurrents sont allés dormir, peu à peu, me laissant le champ libre, moyennant quoi, à 6 heures du matin, j’étais remonté en 5ème position, à trente minutes de Beat, 4ème. Seulement, la fatigue m’est tombée dessus après cette nuit blanche. J’ai fait le choix de dormir deux heures. L’excitation m’a empêché de tomber dans le sommeil et je suis reparti 8ème sans m’être correctement reposé. J’ai dû m’accorder deux siestes d’une heure dans la journée et suis redescendu en 10ème position. La deuxième nuit, j’ai dormi quatre heures, d’un sommeil profond ; je suis reparti en forme pour dix à douze heures de vélo. La troisième nuit, je n’ai pas entendu mon réveil et dormi cinq heures. Malgré tout, j’étais encore 4ème, à vingt minutes de Beat. Une très bonne surprise. Il se reposait toujours, je suis donc passé devant lui au classement. A l’issue du parcours vélo, il restait les 211 kilomètres de course à pied et je savais que dans ce domaine, je suis nettement meilleur que lui. Cela se présentait bien. J’ai couru non-stop le premier marathon en petites foulées, bras souples. Du deuxième au cinquième, j’ai beaucoup marché et me suis octroyé quelques pauses tout en surveillant le classement de Beat. J’ai fini 6ème sur 15, Beat était 8ème. Mission accomplie ! C’est la course qui m’a débloqué, psychologiquement. Et physiquement, entre la première épreuve du championnat mondial, à 96 kilos, et mon arrivée à Colmar, j’avais perdu dix kilos et retrouvé mes jambes. J’avais réussi mes deux quintuples Ironman de 2022 et j’ai terminé celui-ci en 111 heures, soit trois heures de moins qu’au Mexique en 2016. Une superbe satisfaction ! Cela m’offrait de très belles perspectives pour la suite. Je songeais que j’avais fait le bon choix en reprenant les championnats du monde. J’y prenais du plaisir, je récupérais rapidement… Tout se passait au mieux. Je suis revenu en France satisfait. Trois semaines plus tard, j’étais inscrit à un double Ironman en Belgique. J’ai réfléchi au bilan de ces premières épreuves de l’année : pour la première compétition, aux Etats-Unis, mon résultat n’était pas pris en compte car les intempéries avaient imposé une pause de 2h15 qui m’avait fait arriver officiellement hors-délai. Au Brésil, j’avais terminé dans les temps, laborieusement, avant un abandon aux Etats-Unis. A Colmar, arrivant en 6ème position, je me remettais en selle. Il fallait confirmer en Belgique, pas question de me louper. Voici les résultats officiels sur le site de la Fédération Internationale d’Ultra-Triathlon : -> https://www.iutasport.com/ultra-triathlon-results/results-2022/results-quintuple-ultra-triathlon-in-colmar-2022

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Double Ironman
Oregon – USA
9 juin 2022

Dans cet article, je t’invite à venir revivre mon double Ultra-Triathlon dans la région de l’Oregon aux USA pour la 3ème épreuve de la coupe du monde. Au programme : 7.6km de natation, 360km de vélo et 84.4km de course à pied. 3ème manche de la Coupe du Monde d’Ultra-Triathlon   Cette troisième course se déroulait dans l’Oregon, donc cette fois à l’Ouest des Etats-Unis. Je m’y rendais pour la première fois et plutôt serein puisque j’avais réussi les deux précédentes épreuves, même si ç’avait été dans la douleur. Ma seule crainte concernait le décalage horaire, conséquent : neuf heures de différence avec l’heure française. Or, en ultra triathlon, les trois facteurs-clés sont l’entraînement, le sommeil et l’alimentation. Je suis un gros dormeur, j’ai du mal à gérer le manque de sommeil et ne pouvant me rendre sur place que trois jours avant la compétition, je disposerais peu de temps pour m’acclimater. Tant pis, pas le choix. Je me suis rassuré en songeant que c’était un petit format, « seulement » un double Ironman. Mon ami Stéphane m’accompagnait pour assumer la logistique ; tout se présentait bien. Il avait réservé la location de voiture et l’hébergement, dans un bel hôtel avec piscine à dix minutes du site de l’épreuve. Nous avons visité la région, j’ai réglé le vélo, couru un petit footing et surtout, j’ai réussi à me caler sur l’horloge locale. J’ai commis une erreur en ne repérant pas le futur parcours du vélo, ce qui m’aurait permis de découvrir ses reliefs. Jusqu’ici, le vélo s’était toujours déroulé sur un circuit sans relief, j’ai supposé que ce serait comparable ici. J’ai juste vérifié si la natation se déroulait en piscine, comme je l’espérais, ou en eau vive. C’était malheureusement dans un lac, moyennant quoi j’allais nager de manière moins linéaire et par conséquent, plus longtemps, mais tant pis ; au moins, ce site était très beau. La veille de la course, nous sommes venus pour la remise des dossards et la présentation des athlètes, pénétrant dans un très grand parc sérieusement vallonné. Plus nous avancions vers le lac, plus le dénivelé s’intensifiait : ça montait, descendait, remontait… En arrivant au lac, j’ai demandé à l’organisateur où se trouvait le circuit vélo : C’est la route par laquelle vous êtes arrivés, qui fait ensuite le tour complet du lac ; le parcours est constitué de 25 fois le tour. Aïe, aïe ! Une fois l’administratif réglé, Stéphane a emprunté un vélo pour m’accompagner et nous sommes partis en repérage. J’ai tout de suite compris que je n’avais ni les jambes, ni les bons pignons sur mon vélo. Cela allait être compliqué. Le tour du lac représentait un peu moins de 15 kilomètres. Dans la côte principale, pour le repérage, je roulais à 12 kilomètres/heure. Il m’est apparu qu’au bout de quelques tours, je mettrais pied à terre et ce constat m’a mis la boule au ventre. La natation en eau vive, un parcours vélo très vallonné… mon optimisme initial s’était envolé. Nous sommes rentrés à l’hôtel passer une bonne nuit. Le lendemain, cela démarrait à 7 heures. Contrairement à ces derniers jours, un peu nuageux mais secs et doux, la météo locale prévoyait désormais de la pluie, pour plusieurs jours. Cela s’est confirmé au matin du jour J. Pour la natation, aucun souci, mais pour le vélo… Nous avons assisté à la cérémonie d’ouverture, assez grandiose, durant laquelle une jeune chanteuse a superbement interprété l’hymne national américain. Dans le lac, malgré sa beauté en surface, j’ai découvert un fond vaseux désagréable et une eau assez trouble. J’allais devoir faire avec et c’est parti pour 7,6 kilomètres de nage. J’ai commencé tranquillement et jusqu’au 5ème kilomètres, ça allait. Ensuite, cela a sérieusement tiré sur les bras. J’ai fini 14ème sur 15 compétiteurs. Je me suis vite changé et ai enfourché mon vélo pour 360 kilomètres sous une pluie battante qui n’a plus cessé. Mal équipé, j’ai vite été trempé. Mes jambes ont tenu, par contre, j’étais obligé de freiner en descente, à cause de toute cette pluie, alors que j’aurais aimé regagner du temps et me détendre un peu dans ces moments-là. Jusqu’au 200ème kilomètre, cela s’est passé correctement, puis la fatigue est arrivée, la nuit est tombée, la pluie s’est intensifiée, le froid s’est installé. Dur, dur… Nous avions 39 heures pour boucler cette course au lieu de 36 habituellement, parce que le parcours vallonné en fait la deuxième plus difficile des championnats du monde. Cela me laissait une chance d’y parvenir. Cependant, je montais désormais le col principal à 5 ou 6 kilomètres/heure en y laissant une énergie folle. Puis à 3 kilomètres/heure. Puis je l’ai monté à pied. J’ai calculé qu’il me restait sept tours à parcourir et qu’ils me prenaient à chaque fois une heure, à présent, alors qu’il ne me fallait que 35 minutes au début. Mathématiquement, j’allais manquer de temps pour boucler les deux marathons. Était-il judicieux de continuer et de m’épuiser en profondeur face à cet échec inéluctable ? Non, ai-je conclu, mieux valait garder mes forces pour l’épreuve suivante. Au 250ème kilomètre, j’ai annoncé à Stéphane que j’allais abandonner. Un choix très difficile, c’était mon premier abandon et ce n’est pas du tout dans ma nature, seulement il était plus intelligent d’arrêter que d’aller trop loin et de me blesser inutilement, m’obligeant à renoncer au reste de la saison et au titre mondial que je convoitais. J’étais soulagé d’enlever ces vêtements trempés et de me reposer, mon corps m’a dit merci. Stéphane a fait ce qu’il a pu pour me réconforter. J’ai analysé mes erreurs, afin qu’elles me servent pour la suite : mauvais choix des vêtements, un vélo pas adapté, ne pas avoir repéré le parcours vélo… Le lendemain, nous avons profité de la piscine de l’hôtel. J’ai fait le bilan de l’aventure avec Stéphane et tout noté sur une feuille, dressant une liste de matériel à acquérir. J’ai décidé d’acheter un vélo plus moderne et des vêtements de pluie. Il était hors de question de vivre un autre abandon ! J’avais hâte

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Quintuple Ironman
Rio De Janeiro – Brésil
4 avril 2022

Dans cet article, je t’invite à venir revivre mon quintuple Ultra-Triathlon à Colmar en France pour la 4ème épreuve de la coupe du monde. Au programme : 19km de natation, 900km de vélo et 211km de course à pied. 2ème manche de la Coupe du Monde d’Ultra-Triathlon   Avec mon pote Stéphane, nous sommes partis au Brésil tout excités, en ce mois d’avril 2022, trois jours avant la course, pour neuf jours de déplacement. Je devais m’absenter le moins longtemps possible, bien conscient qu’il me faudrait tout de même encaisser le décalage horaire. J’allais devoir m’acclimater au pas de charge ! De l’aéroport de Rio de Janeiro, une voiture nous a amenés dans le logement, proche du site de la compétition, à trois heures de route. Durant ce trajet, nous avons vu la misère, les bidonvilles, les routes pas goudronnées… ce pays ne faisait pas rêver ! Il donnait l’impression d’avoir un siècle de retard sur la France. Je connaissais l’organisateur, je l’avais rencontré au Mexique en 2016. Mais le Brésil, je ne connaissais pas. La chaleur était caniculaire, l’été venait de se terminer. Nous logions dans un mini bungalow carrément spartiate mais offrant une vue exceptionnelle su la mer, et les propriétaires étaient adorables. Le lendemain, nous sommes allés sur le lieu de la compétition, un domaine privé entretenu avec le plus grand soin, ce qui contrastait singulièrement avec les bidonvilles : golf, piscine olympique, circuit de vélo professionnel… tout était impeccable. Il y avait même un centre sportif du PSG pour les jeunes footballeurs brésiliens. J’ai commencé à prendre mes marques, à découvrir les lieux, la vie et la culture brésiliennes. La chaleur m’inquiétait un peu, de l’ordre de 50° au soleil. C’était beaucoup, surtout par rapport aux importants efforts physiques que nous allions fournir. La cérémonie d’ouverture a eu lieu le lendemain et un repas a réuni athlètes et organisateurs. Au jour J, le stress est un peu monté. Je me sentais prêt et j’avais pratiquement absorbé l’effet du décalage horaire. Vers 6 heures, j’étais sur place, pour un démarrage de l’épreuve de natation à 7 heures. Nous étions huit athlètes inscrits dont cinq sur un format d’un Ironman par jour. Au coup de sifflet, j’ai retrouvé mes sensations de nage, dans ce bassin de 50 mètres. J’étais dans la ligne d’eau de Beat, un ami suisse, très bon nageur, qui m’a dépassé à plusieurs reprises. Je suis sorti de la piscine au bout d’1h38, ce qui correspondait à mon attente. J’ai enchaîné avec le vélo sur un parcours de 7,5 kilomètres de toute beauté et au revêtement idéal : cela roulait tout seul. Jusqu’au 91ème kilomètre, pas vraiment de souci, puis la chaleur a brutalement pesé. Je n’avais pas mis de crème solaire sur mes jambes et mes avant-bras, j’ai senti que ma peau brûlait et j’ai fini sur un rythme nettement moins soutenu, assoiffé, fatigué. Je n’avais plus de « jus » pour la course à pied, j’ai dû démarrer en marchant. Et ce n’était que le premier jour ! Je devais impérativement terminer en 14 heures si je volais bénéficier d’un temps de repos correct. Je n’ai pu courir que sur la deuxième moitié du marathon, une fois que le soleil est devenu moins ardent. J’ai compris que l’astre solaire allait sacrément me freiner durant les quatre jours à venir. J’ai fini ce premier Ironman en 16 heures, un peu inquiet de la suite et souffrant de vertiges, ce qui était tout à fait inhabituel. La chaleur m’avait assommé et profondément déshydraté, j’étais brûlé de partout, avec une énorme cloque sur la cuisse ; j’avais le moral en berne et un gros stress à l’idée de devoir envisager un abandon. Est-ce que je pourrais repartir et recommencer tout cela le lendemain ? Et encore les jours suivants ? Avec l’inquiétude et la chaleur, j’ai passé une nuit horrible, très peu reposante. Le réveil a été rude. Il faisait déjà chaud et j’étais sur une corde raide, assez prêt de jeter l’éponge. La piscine m’a fait un bien fou. J’ai nagé la distance requise en 1h45, ce qui était acceptable. J’ai continué en mode « piano » et me suis bien alimenté et hydraté[1]. Mon but premier était de souffrir le moins possible et cette fois, je me suis badigeonné de crème solaire indice 50, moyennant quoi j’étais tout blanc. J’ai roulé 180 kilomètres en prenant mon temps, considérant que « Qui veut aller loin ménage sa monture » ! Le vélo terminé, je me suis accordé une bonne douche réconfortante avant la course à pied. J’ai alterné course et marche et terminé ce deuxième Ironman en meilleure forme que la veille, mais en 18h10, soit deux heures de plus. J’étais épuisé et pas vraiment rassuré, mais cette fois, je me suis écroulé sur mon lit et ai dormi assez profondément pour bien récupérer, même si je n’ai pu bénéficier que de cinq heures de sommeil. Le troisième jour, très motivé, j’avais retrouvé le moral et le sourire : je savais désormais que je serais finisher. La veille, ma femme m’avait trouvé en piteux état lors de notre « visio » et elle avait exprimé son inquiétude. Je l’ai appelée pour lui dire que ça allait beaucoup mieux. Un Brésilien qui avait bien performé les deux premiers jours abandonnait, moyennant quoi je ne serais pas dernier. Cette certitude m’a mis un peu de baume au cœur. L’épreuve de natation m’a agréablement rafraichi. J’ai fini en 1h42 et repris confiance en moi. Le vélo s’est passé à l’identique du deuxième jour. La course à pied aussi. J’ai peu à peu trouvé mon rythme et fini en 18h04, gagnant 6 minutes par rapport à la veille. J’étais dernier des participants, mais finisher, pour la troisième fois. Au quatrième jour, mon corps s’était acclimaté à la chaleur et commençait à mieux encaisser la fatigue. J’ai encore gagné une minute en natation. Le vélo a été un copier/coller des précédentes journées, hormis une sieste de trois-quarts d’heure. J’ai fini en 19h07, perdant une heure. Tant pis si je ne dormais que quatre heures, demain serait

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Double Ironman
Floride – USA
10 mars 2022

Dans cet article, je t’invite à venir revivre mon double Ultra-Triathlon en Floride, aux USA pour la 1ère épreuve de la coupe du monde. Au programme : 7.6km de natation, 360km de vélo et 84.4km de course à pied. 1ère manche de la Coupe du Monde d’Ultra-Triathlon   Depuis six ans, je n’avais ni nagé, ni pédalé, et pratiqué peu de sport hormis le vélo elliptique et la course à pied. À présent, je m’entraînais dès que possible. Reprendre six ans après avoir tout arrêté brutalement n’est pas rationnel, je sentais que c’était bizarre et que mon corps ne comprenait pas. Je devais aussi réapprendre tout ce qui concerne l’organisation logistique, l’équipe, l’équipement. J’ai ressorti le vélo de la cave. Stéphane, qui j’ai accompagné dans l’immobilier jusqu’à ce qu’il devienne rentier, m’a gentiment proposé de m’accompagner en Floride pour assurer ma logistique. Le circuit était le même qu’en 2016. Ramener mon corps ici six ans après était étrange. J’ai senti comme un petit beug. J’ai retrouvé la famille de l’ultra triathlon. J’étais confiant grâce à ma solide expérience, mais mon surpoids constituait la grande inconnue. J’allais devoir accepter d’être simplement finisher de l’épreuve, sans viser le podium. Je ne savais même pas si je pourrais rentrer dans mon ancienne combinaison pour l’épreuve de nage, avec 15 kilos de trop. Ne serais-je pas trop serré ? C’est parti et les premiers mètres ont été catastrophiques : j’étais boudiné, j’étouffais. J’ai dû arrêter le crawl et ai continué à la brasse. Au final, pourtant, je m’en suis bien sorti : j’ai mis seulement dix minutes de plus qu’en 2016 pour parcourir ces 6,7 kilomètres : 3h45 au lieu de 3h35. Par contre, j’avais les épaules en feu et de fortes douleurs dans les cervicales. Cela m’a fortement impacté sur la suite : à vélo, je ne parvenais pas à trouver les bonnes positions. Pour autant, là encore, cela s’est bien passé. Je n’ai pas souffert du décalage horaire, je ne me suis pas assoupi au guidon ; j’étais satisfait de terminer ce parcours de 360 kilomètres en 17 heures. Restait la course à pied, sur 84,4 kilomètres. Nous devions effectuer ce circuit en 36 heures. En 2016, cela m’avait pris 35h40. De nouveau, n’étant pas très rapide au début, j’étais limité, j’ai accéléré dans la dernière partie et fini en 35h45. J’éprouvais une énorme satisfaction d’avoir terminé dans les temps, mais avec la déception de ne pas gagner alors que le premier n’avait pas véritablement brillé. Sur 12 inscrits, nous étions 8 à finir dans les temps et j’étais classé 5ème. Pas mal du tout. Je suis rentré en France très motivé pour la suite. J’allais continuer avec sérénité. J’avais déjà perdu trois kilos en Floride. J’ai continué les entraînements. La deuxième épreuve, inédite, se déroulait au Brésil : un quintuple Ironman. Les organisateurs proposaient deux formules : tout d’un coup ou un Ironman par jour durant cinq jours. Je me suis rabattu sur cette deuxième option. Cependant, je passais quand même d’un double à un quintuple Ironman. Comment mon corps allait-il réagir ? J’avais souffert en Floride. Je me suis dit que je ne devais pas m’inquiéter, cette épreuve allait me permettre de voir où j’en étais. J’ai continué à « envoyer des sms au corps » pour le mettre en condition mais, même si cela avait été difficile, j’avais terminé la course en moins de 36 heures. J’étais rassuré : le corps avait répondu présent après ces six années de pause et les belles sensations étaient revenues. J’avais fait le bon choix. Pourtant, 2022 n’était pas le moment le plus approprié pour reprendre la compétition de haut niveau : j’étais désormais marié, ma femme et moi développions des projets professionnels de tous les côtés, nous avions eu un enfant en décembre 2021… Mes parents ne comprenaient pas du tout cette reprise de la compétition de haut niveau dans un tel contexte. Ils m’ont quand même souhaité bonne chance. Je leur ai expliqué que cela me permettrait de retrouver mon poids idéal et la forme, et que je ne me mettais pas la pression. Cela a semblé leur convenir. La saison allait cependant être longue et éprouvante. La deuxième épreuve se déroulait au Brésil, un mois plus tard. La logistique était plus difficile à gérer que les kilomètres à avaler, pour moi. Si loin, c’est tout sauf évident. Et puis, un quintuple Ironman, c’est-à-dire cinq fois 3,8 kilomètres de nage, 180 à vélo et un marathon, quotidiennement, dans un pays inconnu et trop vite, trop tôt dans la saison, c’était un pari osé. Or, j’étais obligé d’y participer, si je voulais chercher le podium, a fortiori sa plus haute marche, je ne pouvais pas faire l’impasse sur telle ou telle course. Je devais impérativement réussir cette épreuve, au minimum en être finisher. Concrètement, pour le classement des championnats, les organisateurs prennent en compte les quatre meilleurs épreuves de chaque sportif et chaque course supplémentaire apporte 20 points de plus. Voici les résultats officiels sur le site de la Fédération Internationale d’Ultra-Triathlon : -> https://www.iutasport.com/ultra-triathlon-results/results-2022/results-double-ultra-triathlon-in-florida-2022

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Marathon de Paris
17 octobre 2021

Dans cet article, je t’invite à venir revivre mon Marathon de Paris pour mon come-back en sport après 4 ans d’inactivité sportive. Au programme : 42.2km de course à pied sur les pavés du bitume Parisien. Marathon de Paris 2021 Le Marathon de Paris 2021, un événement très attendu, s’est déroulé le 17 octobre, marquant un retour triomphal après une interruption due à la pandémie mondiale. Cette édition a été spéciale non seulement pour les organisateurs et les participants, mais aussi pour la ville de Paris, qui a accueilli à nouveau des milliers de coureurs dans ses rues emblématiques. Préparation et Anticipation Après une année 2020 sans marathon, l’excitation et l’anticipation étaient palpables. Les coureurs, qu’ils soient élites ou amateurs, se sont préparés intensément, surmontant les défis posés par les restrictions liées à la COVID-19. Les organisateurs ont également dû s’adapter, mettant en place des mesures sanitaires strictes pour assurer la sécurité de tous. Le Jour de la Course Le jour du marathon, Paris s’est réveillée sous un ciel clair, promettant des conditions idéales pour la course. Dès l’aube, les rues ont commencé à se remplir de participants enthousiastes, se préparant pour l’un des plus grands défis de leur vie. Le Parcours Le parcours du Marathon de Paris est réputé pour sa beauté, traversant des sites emblématiques tels que les Champs-Élysées, la Place de la Concorde, le Louvre, et la Tour Eiffel. En 2021, le parcours n’a pas déçu, offrant aux coureurs une expérience mémorable à travers l’histoire et la culture parisiennes. Les Performances Le Kenyan Elisha Rotich a remporté le marathon masculin avec un temps impressionnant de 2 heures 4 minutes et 23 secondes, battant le record de l’épreuve. Chez les femmes, l’Éthiopienne Tigist Memuye a triomphé avec un temps de 2 heures 26 minutes et 12 secondes. Ces performances remarquables ont été le point culminant d’une journée déjà extraordinaire. L’Esprit du Marathon Au-delà des performances des élites, le Marathon de Paris 2021 a été une célébration de l’esprit du marathon. Des milliers de coureurs amateurs, venus de divers horizons, ont pris part à l’événement, chacun avec sa propre histoire et ses motivations. Pour beaucoup, franchir la ligne d’arrivée était un accomplissement personnel, un témoignage de leur résilience et de leur détermination. Les Défis et les Réussites Le marathon n’est pas seulement une épreuve physique, mais aussi mentale. Les participants ont dû surmonter la fatigue, la douleur, et parfois le doute. Cependant, l’encouragement du public, l’atmosphère festive et la solidarité entre les coureurs ont aidé beaucoup à atteindre leur objectif. Les Histoires Personnelles Chaque participant avait une histoire unique. Certains couraient pour des causes caritatives, d’autres pour honorer la mémoire d’un être cher, ou simplement pour se mettre au défi. Ces histoires personnelles ont ajouté une dimension émotionnelle à l’événement, rappelant que le marathon est plus qu’une course, c’est une expérience humaine. La Conclusion Le Marathon de Paris 2021 s’est conclu sur une note positive, avec des milliers de coureurs franchissant la ligne d’arrivée, épuisés mais heureux. Les sourires, les larmes de joie et les célébrations ont témoigné de l’importance de cet événement pour tous ceux qui y ont participé. Vers l’Avenir En regardant vers l’avenir, le Marathon de Paris 2021 restera dans les mémoires comme une édition symbolique de résilience et de renaissance. Il a non seulement marqué le retour du marathon dans la capitale française, mais a également symbolisé un pas en avant vers la normalité après une période difficile à l’échelle mondiale. En résumé, le Marathon de Paris 2021 a été bien plus qu’une simple course. Il a été une célébration de la force humaine, de la persévérance et de l’unité, offrant un message d’espoir et d’inspiration pour l’avenir.

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Marathon de Carcassonne
4 juin 2017

Dans cet article, je t’invite à venir découvrir le Marathon de Carcassonne. Au programme : 42.2km de course à pied dans un cadre historique et culturel exceptionnel. Marathon de Carcassonne 2017 Le Marathon de Carcassonne 2017, qui s’est déroulé le 4 juin, a été un événement mémorable, combinant sport et tourisme dans un cadre historique et culturel exceptionnel. Cette course a offert aux participants une expérience unique, les emmenant à travers des sites emblématiques de la région. Le Cadre Historique Carcassonne, avec sa célèbre Cité Médiévale classée au patrimoine mondial de l’UNESCO, a offert un décor spectaculaire pour le marathon. Les coureurs ont eu l’opportunité unique de traverser des lieux chargés d’histoire, comme le Canal du Midi, également classé à l’UNESCO, ajoutant une dimension culturelle à l’épreuve sportive. La Course Le Marathon de Carcassonne 2017 a proposé plusieurs distances : le marathon complet (42,2 km), le semi-marathon (21 km), et une course de 10 km, permettant ainsi à un large éventail de coureurs, des élites aux amateurs, de participer. La ligne de départ, située près des remparts de la Cité fortifiée, a donné le ton pour une course exceptionnelle. Les Participants Des coureurs de divers horizons ont participé à cet événement, chacun avec ses propres objectifs et motivations. Certains visaient des records personnels ou des qualifications, tandis que d’autres couraient pour le plaisir, la santé, ou des causes caritatives. Le Parcours Le parcours du marathon a été soigneusement conçu pour mettre en valeur la beauté et l’histoire de Carcassonne. Les coureurs ont traversé des sites pittoresques, y compris la Bastide Saint-Louis et le Pont Vieux, offrant une expérience de course à la fois exigeante et enrichissante. Les Défis Comme pour tout marathon, les participants ont dû faire face à des défis physiques et mentaux. La préparation pour un tel événement demande des mois d’entraînement rigoureux, et le jour de la course, les coureurs ont dû gérer leur endurance, leur rythme, et leur stratégie pour atteindre la ligne d’arrivée. L’Atmosphère L’atmosphère du Marathon de Carcassonne 2017 était festive et accueillante, avec des spectateurs venus encourager les coureurs tout au long du parcours. Cette ambiance positive a grandement contribué à l’expérience globale de la course. Les Histoires Personnelles Derrière chaque dossard, il y avait une histoire personnelle. Des coureurs qui ont surmonté des obstacles personnels aux débutants qui ont franchi la ligne d’arrivée de leur premier marathon, chaque participant a apporté sa propre touche à l’événement. Conclusion Le Marathon de Carcassonne 2017 a été plus qu’une simple course. Il a été une célébration du sport, de la culture, et de la communauté, offrant une expérience inoubliable à tous ceux qui y ont participé. L’événement a non seulement mis en valeur la beauté et l’histoire de Carcassonne, mais a également rassemblé des personnes de tous horizons, unies par leur amour de la course à pied. En résumé, le Marathon de Carcassonne 2017 a été un événement marquant, combinant avec succès le sport, la culture et le tourisme, et laissant des souvenirs impérissables à tous ceux qui ont pris part à cette aventure unique.

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Marathon de Montauban
26 mars 2017

Dans cet article, je t’invite à venir découvrir le Marathon de Montauban pour son 10ème anniversaire. Au programme : 42.2km de course à pied dans un cadre historique et culturel exceptionnel. Marathon de Montauban 2017 Le Marathon de Montauban 2017, qui s’est tenu le 26 mars, a été un événement marquant dans le calendrier des courses longue distance en France. Cette édition a attiré des coureurs de tous niveaux, offrant des parcours variés incluant un marathon complet, un semi-marathon et un 10 km, permettant ainsi à un large éventail de participants de s’engager dans cette fête du running. L’Atmosphère de la Course Montauban, avec son riche patrimoine culturel et historique, a offert un cadre magnifique pour la course. L’atmosphère était électrique dès le début, avec des coureurs enthousiastes et des spectateurs venus en nombre pour soutenir les participants. L’événement a non seulement mis en valeur la ville mais a également contribué à renforcer la communauté locale autour du sport. Les Participants Au total, 2 785 coureurs ont franchi la ligne d’arrivée dans les différentes catégories. Le marathon a vu 294 finishers, le semi-marathon 954, et le 10 km a attiré le plus grand nombre de participants avec 1 537 arrivants. Cette diversité a montré l’attrait du Marathon de Montauban pour tous les types de coureurs, des élites aux amateurs. Le Parcours Le parcours du marathon a traversé des lieux emblématiques de Montauban, offrant aux coureurs une expérience à la fois pittoresque et exigeante. Le tracé a été conçu pour mettre en valeur la beauté de la ville tout en présentant un défi adapté à la distance de la course. L’Esprit de la Course L’esprit du Marathon de Montauban était centré sur la célébration du sport et de la persévérance. Les coureurs ont partagé une camaraderie unique, s’encourageant mutuellement et célébrant leurs accomplissements. Cet esprit a été particulièrement visible à la ligne d’arrivée, où les émotions étaient palpables. Les Défis Comme pour tout marathon, les participants ont dû surmonter des défis physiques et mentaux. La préparation pour un marathon demande des mois d’entraînement et de dévouement, et le jour de la course, la gestion de l’endurance, de la nutrition et de la stratégie de course a été cruciale pour de nombreux coureurs. Les Histoires Personnelles Chaque coureur avait une histoire unique à raconter. Pour certains, c’était leur premier marathon, pour d’autres, une étape dans leur parcours de course à pied. Ces histoires personnelles ont ajouté une dimension humaine à l’événement, rappelant que chaque participant avait surmonté ses propres obstacles pour être là. La Conclusion Le Marathon de Montauban 2017 s’est conclu sur une note positive, avec des sentiments de réussite et de satisfaction parmi les participants. Les organisateurs et les bénévoles ont été félicités pour leur travail acharné et leur engagement à faire de l’événement un succès. Vers l’Avenir En regardant vers l’avenir, le Marathon de Montauban 2017 a laissé un héritage durable, inspirant les futurs participants et contribuant à la culture du running dans la région. L’événement a non seulement célébré le sport, mais a également renforcé les liens communautaires et promu un mode de vie sain. En résumé, le Marathon de Montauban 2017 a été un événement mémorable, marquant les esprits par son ambiance festive, ses performances impressionnantes, et son impact positif sur la communauté. Il a servi de rappel puissant de ce que le sport peut apporter en termes de santé, de bonheur et d’unité.

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