Tristant Goulwenn

ULTRA-TRIATHLON

J’ai terminé le game de
l’ultra-triathlon 🎮🕹️

Viens découvrir à travers cette vidéo mon retour d’expérience sur tous les formats existants en ultra-triathlon que j’ai enfin terminée après 11 ans dans le game 💪 https://youtu.be/PpBGVSJ7Htk Dans cette vidéo, Goulwenn Tristant, alias « Monsieur Performance, » revient sur son parcours dans l’ultra-triathlon, une discipline extrême qui le passionne depuis 2014. Il explique avoir réalisé toutes les distances proposées par la Fédération Internationale d’Ultra-Triathlon, ce qui fait de lui l’un des rares athlètes à avoir accompli un tel exploit. Il présente les différents formats, allant du « one per day » (un Ironman par jour) au format continu, où chaque discipline s’enchaîne sans interruption, et même les variantes plus récentes comme le « split » ou « step. » Parmi les formats qu’il a complétés, il mentionne notamment le double, triple, quintuple, déca (10 Ironman) et même un « X 30, » soit 30 Ironman d’affilée (114 km de nage, 5 400 km de vélo et 1 266 km de course). Il classe ses formats préférés : le X 20 en tête pour son équilibre entre endurance et intensité, suivi du X 30 pour l’endurance extrême, et le X 10 en troisième place pour sa rapidité. Plus bas dans sa liste, il évoque le X 3 (triple Ironman) comme le format le plus difficile pour lui en raison du manque de sommeil. Pour conclure, il encourage les passionnés de sport à poursuivre leurs rêves et répondra volontiers aux questions des spectateurs intéressés par l’ultra-triathlon.

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🇮🇹 Italie – Desenzano del Garda
Triple déca Ironman
114 km de nage
5400 km de vélo
1266 km de course
1er septembre 2024

Dans cet article, je t’invite à venir revivre mon Triple Deca Ultra-Triathlon à Desenzano del Garda en Italie pour la quatrième et dernière épreuve de la coupe du monde. Au programme : 114 km de nage / 5400 km de vélo et 1266 km de course à pied. 4ème et dernière épreuve de la coupe du monde d’ultra-triathlon 2024 Ma femme m’a aidé à gérer cette longue absence. Mes parents et les siens ont prévu de venir l’aider, puisque j’allais m’absenter plus de 40 jours. Tout était organisé. J’ai chargé le camion tranquillement en m’assurant de ne rien oublier. Cette compétition avait eu lieu en 2013 au format un Ironman par jour, pendant 30 jours. C’était la première version en format continu, ce qui représentait : 114 kilomètres de nage dans un bassin de 50 mètres 5400 kilomètres à vélo 1266 kilomètres de course à pied ! Je suis parti en Italie la gorge nouée de quitter ma famille pour plus d’un mois. Concernant mon état physique, en revanche, j’étais serein. Je me suis vite rassénéré en songeant que j’allais revoir plein d’amis de cette grande famille de l’ultra. Nous étions 14 inscrits, dont 4 femmes. 90% de ces athlètes avaient participé au fois 20 Ironman l’année précédente, moyennant quoi je les connaissais. Un seul m’avait battu, un Polonais. Il voulait absolument remporter cette compétition italienne, la seule de l’année à laquelle il concourait. Il m’était supérieur, ce qui ne m’inquiétait pas spécialement car il peut se passer beaucoup de choses sur de telles distances. Par contre, j’étais seul tandis qu’il bénéficiait d’une équipe de trois personnes pour gérer sa logistique. Je comptais beaucoup sur l’organisation impeccable de Vincenzo pour que les bénévoles m’aident à performer, et si possible à gagner cette épreuve. Je suis arrivé sur le site de l’évènement sur les coups de 18h30, le 28 août 2024. J’ai monté ma tente, installé mon matériel et récupéré du voyage. J’avais deux jours pour faire mes courses et tout fignoler. J’ai découvert le lieu, pris mes marques. Tout semblait bien se passer. Sauf que le lendemain, j’ai reçu une douche froide : j’ai appris que la compétition se déroulerait sur trois sites distincts imposant d’y déplacer la logistique et ça, je ne l’avais pas du tout réalisé jusqu’alors. Un moment de flottement en a résulté. Franchement, je ne me voyais pas comment migrer tout seul et les autres athlètes venus sans équipe logistique ont également exprimé leurs craintes. J’ai tenté de trouver des solutions acceptables. La bonne nouvelle, c’est que j’avais apporté pas mal de matériel en double, par exemple un bon couchage. Je pouvais en installer une partie sur le site de la natation, seulement, moi qui avais prévu de m’entraîner, nager et courir durant ces deux jours, je n’ai pas pu, j’ai dû improviser un deuxième campement sans parvenir à résoudre tous les problèmes de logistique. Mon objectif a cessé d’être « comment gagner cette compétition » pour devenir « comment y participer efficacement » ! A J moins un du départ, la cérémonie d’ouverture m’a fait oublier ces inquiétudes et permis de décompresser. Le départ était prévu à 18 heures le lendemain. J’ai démonté du matériel aussitôt stocké dans le camion pour l’apporter sur le site de la natation où un barnum nous était prêté, officiellement à partir de 15 heures. J’étais obligé d’assumer ce travail herculéen juste avant l’épreuve alors qu’habituellement, une seule logistique suffit pour les trois épreuves. Cela m’a sérieusement énervé. Malheureusement, je n’avais pas le choix. Il me fallait oublier mon confort sous ce barnum de 2 mètres sur 2 mis à disposition par l’organisation. Tout n’y rentrait pas. J’ai trié et transféré le strict nécessaire, ce qui, déjà, m’imposait une trentaine d’allers retours entre le parking et le barnum. J’ai passé quatre heures à manutentionner tout ce matériel, terminant à 17h45. Debout depuis 9 heures du matin, j’étais épuisé avant même de commercer, j’avais envie de dormir et je devais commencer à nager un quart d’heure plus tard, à partir de 18 heures, sur une distance de 114 kilomètres ! J’ai demandé si on ne pouvait pas reporter le départ au lendemain matin, mais non. J’ai un peu hésité à jeter l’éponge. A 18h10, j’ai entendu que cela bougeait autour de moi. Le départ avait été reporté à 18h30. Les cameramen m’ont sollicité pour cinq minutes d’interview. A 18h20, j’ai rejoint les autres sur la ligne de départ. J’ai réalisé encore quelques vidéos, ajusté ma tenue et enfilé les deux bracelets électroniques censés mesurer notre distance parcourue et comptabiliser nos allers retours. J’ai démarré avec quelques secondes de retard dans une ligne d’eau partagée avec trois athlètes que je connais et aime bien : Lia l’Américaine, Shanda la Canadienne et Tomasz, le Polonais. Ils ont le même niveau que moi alors je me suis simplement attaché à les suivre sur le long terme. J’ai gardé le rythme, éprouvant même de bonnes sensations. L’air et l’eau étaient à bonne température. Les bips de nos bracelets étaient transmis à chaque longueur, nous les entendions, mais je me suis étonné qu’aucune information ne soit affichée sur l’écran. Je regardais les distances parcourues sur ma montre. A la pause, consultant les messages, j’ai appris qu’on ne pouvait pas me suivre sur le live. L’organisateur nous a cependant confirmé que les données étaient bien enregistrées, précisant que des techniciens intervenaient pour résoudre le problème d’affichage sur le grand écran. Je m’étais fixé pour objectif de nager trente kilomètres par jour et idéalement un peu plus le premier jour. Au bout de quelques heures, j’ai enlevé ma montre, dont le frottement m’irritait. Le deuxième jour, il n’y avait toujours aucune donnée affichée sur écran. Je ne savais plus du tout où j’en étais par rapport aux autres, ni par rapport à mes objectifs. Cette contrariété m’a pesé. J’ai continué mes allers retours en me ravitaillant correctement, dormant trois heures par nuit plus une ou deux siestes d’une demi-heure en journée. Ayant apporté quatre combinaisons, je me changeais deux fois par jour. Des kinés

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🇪🇪 Estonie – Vinni
Déca Ironman
38 km de nage
1800 km de vélo
422 km de course
2 août 2024

Dans cet article, je t’invite à venir revivre mon Deca Ultra-Triathlon à Vinni en Estonie pour la troisième épreuve de la coupe du monde. Au programme : 38 km de nage / 1800 km de vélo et 422 km de course à pied. 3ème épreuve de la coupe du monde d’ultra-triathlon En Allemagne, j’ai circulé sur des autoroutes. Il y en a beaucoup en Pologne également mais en Lituanie, c’est plus compliqué, comme en Lettonie et en Estonie où je roulais sur des départementales à 100 kilomètres/heure maximum, mais plus souvent à 70. La fin du trajet a été nettement plus pénible que ce que j’imaginais. Je me suis dit que la prochaine fois, je viendrais en avion ! J’étais content de découvrir un nouveau pays, un nouvel environnement. Les organisateurs m’ont chaleureusement accueilli, à l’arrivée, m’indiquant où m’installer. J’ai monté mon barnum et appris que nous n’étions que trois athlètes au départ, dont un inscrit sur le format fois 5. Pour le déca, nous n’étions donc que deux, l’organisateur, Rait, et moi. Il avait mis cette épreuve sur pieds afin de battre le recorddu monde du déca Ironman chez lui, ce qu’il a d’ailleurs réussi. Moi, de nouveau, je venais avant tout pour m’entraîner en évitant de me blesser. Et idéalement, améliorer mon chrono dans ce format, 140 heures sur les dix jours. Le premier jour, tout s’est bien passé. Nous nagions dans une piscine de 25 mètres en intérieur, l’eau étant à 24°, ce qui m’a permis d’y prendre un peu de plaisir. J’ai fini ce premier Iron man en 13h18, sans accro, alors que je tablais sur 13h00 – 13h15. Mission presque accomplie. Le deuxième jour est le plus accidentogène, statistiquement, et malheureusement, alors que je dors généralement comme un loir, je n’ai pas trouvé le sommeil, cette nuit-là. Je me suis levé fatigué, avec la sensation de ne pas avoir dormi du tout, malgré le confort de mon installation, la sommier, le bon matelas, la couette… Je n’ai pas compris pourquoi. Un peu frustré, je suis descendu dans la piscine et ai parcouru la distance du jour sans gros souci. C’est à vélo que cela s’est corsé : je n’avais plus de jambes, cela tirait, douloureusement. J’ai peiné à terminer les 180 kilomètres. Et c’était à peine mieux pour la course à pied dans laquelle, habituellement, je me sens très à l’aide. J’ai fini ce deuxième Iron man en 14h55. Un chrono extrêmement décevant. Clairement, j’allais devoir redresser la barre le lendemain ! Hélas, la deuxième nuit a été un copier/coller de la première, aussi peu reposante. Je ne comprenais pas. Je me suis réveillé cinq ou six fois et j’ai démarré la troisième journée encore plus fatigué que la veille. Là encore, cela a constitué un copier/coller du deuxième jour du côté des sensations, avec un chrono final de 14h54. Mon moral n’était pas au top. Bien que je sois très fatigué, la troisième nuit a été aussi hachée que les deux autres. Le quatrième jour, j’ai connu la même régularité en natation et la même galère à vélo puis en course à pied. J’ai fini en 15h53, soit une heure de plus que les deux jours précédents. Et… j’ai compris que j’allais traîner ma croix ! A partir du cinquième jour, j’ai dû m’accorder une demi-heure de sieste et les chronos se sont aggravés : 16h42. Je devais tout gérer seul, agencer mon matériel, faire sécher mes vêtements… Je n’en pouvais plus. Sixième jour, rebelotte en 15h58. Septième jour en 16h16. Le huitième jour, 15h44, j’ai inversé la tendance ! Neuvième jour, 16h07 et dixième jour, 15h57. Il y avait déjà un bon moment que j’avais renoncé à mon objectif alors j’étais très content d’être finisher et sans blessure. Il est évident que je n’aurais pas pu m’entraîner aussi intensément chez moi tout en travaillant et en m’occupant de ma petite famille, ce qui m’a conforté dans l’idée que j’ai fait le bon choix en participant à ce déca. Il m’a bien préparé à l’Italie. Par contre, j’allais à présent devoir rouler 3000 kilomètres pour regagner Paris puis 2000 pour rejoindre les enfants à Perpignan et encore 1000 pour rallier l’Italie, dans trois semaines, ce qui viendrait vite. J’ai donc entrepris une sorte d’Ironman automobile ! Je me suis accordé une vraie et délicieuse semaine de vacances à Perpignan : bien manger, ne rien faire. La plage, dévorer des burgers avec les enfants… quelques bains glacés, aussi, puisque j’avais investi dans un petit bassin de cryothérapie. J’ai vraiment bien rechargé les batteries, ce qui n’était pas du luxe. Au retour de Perpignan, il me restait deux jours à la maison. J’ai loué un petit camion pour emporter en Italie tout le confort possible. J’avais basé toute ma saison 2024 sur cette compétition de trente Ironman en 30 jours qui succédait, depuis le 1er juillet, à dix-neuf Ironman, 30.000 mètres de dénivelé positif et une ascension du Mont-Blanc. Autant dire que je m’étais préparé à bloc ! Voici les résultats officiels sur le site de la Fédération Internationale d’Ultra-Triathlon : -> https://www.iutasport.com/ultra-triathlon-results/results-2024/results-deca-ultra-triathlon-day-in-vinni-2024 https://youtu.be/UzyclSdmnlIhttps://youtu.be/ZdCe8sKqhpg

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🇩🇪 Allemagne – Lensahn Triple Ironman
11.4 km de nage
540 km de vélo
126.6 km de course
26 juillet 2024

Dans cet article, je t’invite à venir revivre mon triple Ultra-Triathlon à Lensahn en Allemagne pour la seonde épreuve de la coupe du monde. Au programme : 11.4 km de nage / 540 km de vélo et 126.6 km de course à pied. 2ème épreuve de la coupe du monde d’ultra-triathlon Je suis retourné avec plaisir à Lensahn, en Allemagne, la tête emplie de bons souvenirs puisque c’est là qu’en 2014 j’ai découvert l’ultra triathlon. Dix ans plus tard, en ce 26 juillet 2024, je m’étais inscrit pour un triple Ironman constituant la deuxième épreuve comptant pour la coupe du monde 2024. Et c’était mas sixième participation au triple de Lensahn, soit des distances de : 11,4 kilomètres de nage 540 kilomètres à vélo 126,6 kilomètres de course à pied Mon but n’était pas de performer, d’autant que si j’essaye de participer chaque année à cette épreuve de Lensahn, je me spécialise dans les très longues distances. Pour moi, le triple est un petit format, un entraînement, une expérience pour peaufiner l’organisation de ma logistique, une sorte de répétition, pas un but en soi. En l’occurrence, j’avais prévu de ne pas rentrer en France après ce triple Ironman et de me rendre directement en Estonie à Vinni, pour un déca dans le format un Ironman quotidien sur dix jours. Ce qui allait être un tremplin avant la grande épreuve de l’année, sur laquelle je misais quasiment tout : 30 Ironman en continu en Italie. C’était très compliqué de louer un camion pour passer ces deux frontières, quasiment impossible, je me suis donc rendu à Lensahn en voiture, ne pouvant pas emporter tout mon matériel, de ce fait. A l’arrivée sur le site allemand, deux jours avant le départ, j’ai pris mes repères et monté mon barnum tout neuf de 3 mètres sur 4,5 mètres. Il y avait là de nombreuses têtes connues, beaucoup d’amis, dont Vincenzo, l’organisateur de l’épreuve en Italie. Comme il parle bien français, j’ai pu m’entretenir avec lui de cet évènement. À ma demande, une équipe de vidéastes italiens était là pour me filmer et m’interviewer. Lors de la cérémonie d’ouverture, j’ai retrouvé les athlètes que je connais. J’ai ensuite passé une bonne nuit, bien reposante, me levant à 5h30 pour avoir le temps de tout faire tranquillement. J’ai retrouvé tout le monde à la piscine, sans stress. J’étais bien préparé et espérais améliorer mon meilleur chrono sur cette épreuve : 48,50 heures. La priorité restait toutefois de ne pas me blesser à un mois du fois 30 en Italie, sachant que dans l’intervalle, j’enchainais sur un fois 10 en Estonie et allais parcourir environ 7000 kilomètres de voiture. L’épreuve de natation a démarré et sans surprise, j’étais toujours aussi lent. Je suis sorti de l’eau en 5h22 avec une demi-heure de plus que mon meilleur chrono précédent. Je suis surpris de constater que je régresse alors que je suis plus expérimenté, mais c’est ainsi ; cela reste comme une énigme, pour moi. Considérant que l’impact serait négligeable sur le chrono total, je suis sorti de l’eau sourire aux lèvres, content d’en avoir fini avec la nage, mon point faible. Le bassin de 50 mètres se trouve en extérieur et il pleuvait énormément, les conditions n’étaient pas agréables. Je me suis abrité et changé avant d’enfourcher mon vélo. Mon meilleur chrono pour cette distance de 540 kilomètres était de 26 heures, j’espérais le descendre à 20 heures. Les premiers 180 kilomètres se sont bien passés, les cameramen italiens me préparaient très gentiment des plats chauds bien appréciables avec cette atmosphère froide. La deuxième tranche de 180 kilomètres s’est bien déroulée également mais pour le dernier tiers, je n’avais plus de jambes, les dénivelés tiraient douloureusement sur mes muscles ; je les avais sous-estimés. Je n’avais pas assez récupéré après l’épreuve du Mont-blanc, une semaine plus tôt. J’ai peiné à terminer le vélo en 25h58. Cela restait acceptable, néanmoins, j’étais un peu déçu parce qu’il était clair que je n’avais plus la possibilité d’améliorer mon chrono général. Le bon côté de cette situation, c’est que je me suis relâché, m’ôtant toute pression. J’ai tranquillement subi la course, n’ayant plus d’objectif. J’ai couru les trois marathons sans forcer et terminé en 23h49, sept heures de plus que mon meilleur chrono, qui était de 16h30 pour cette distance. Le temps total cumulé pour ce fois trois de Lensahn s’élevait à 55h43. L’année précédente, qui n’était déjà pas fameuse, j’avais terminé en 53h50. Tant pis, c’était un bon entraînement et je ne m’étais pas blessé, terminant en dixième positions sur 18 inscrits au départ : je n’avais pas à rougir de ma prestation. J’ai profité de l’ambiance lors de la remise des trophées et du repas festif avec les athlètes et les organisateurs, puis je me suis couché sachant que le lendemain, je me rendais à Vinni, en Estonie, à 2000 kilomètres, en voiture. Voici les résultats officiels sur le site de la Fédération Internationale d’Ultra-Triathlon : -> https://www.iutasport.com/ultra-triathlon-results/results-2024/results-triple-ultra-triathlon-in-lensahn-2024

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📽️ Reportage x10 Ironman
Vinni – Estonie 🇪🇪
🏊38km🚴1800km🏃422km

Viens découvrir à travers cette vidéo, le reportage de mon déca Ironman (x10 Ironman) one per day à Vinni en Estonie pour la troisième épreuve de la coupe du monde d’ultra-triathlon.    https://youtu.be/UzyclSdmnlI Dans ce reportage, Goulwenn Tristant revient sur son parcours au déca Ironman en Estonie, une compétition où il a dû réaliser un Ironman par jour pendant 10 jours. Vous y retrouverez les difficultés rencontrées, notamment la fatigue extrême accumulée dès les premiers jours, en raison d’un manque de sommeil de qualité et de la récupération limitée entre les épreuves. Malgré une baisse de performance par rapport à ses objectifs initiaux (155 heures contre 135 prévues), il se montre satisfait d’avoir terminé sans blessure, ce qui est crucial pour la préparation de son prochain défi : un triple déca Ironman en Italie, son objectif principal de l’année. 

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Vainqueur du x30 IRONMAN
🏊114km de nage, 🚴5400 km de vélo & 🏃1266 km de course à pied

Viens découvrir à travers cette vidéo, ma victoire sur le plus long triathlon en compétition au monde, un x30 Ironman. 114 km de nage, 5400 km de vélo et 1266 km de course à pied ! https://youtu.be/RTrMQWzX4EU Dans cette vidéo, Goulwenn Tristant raconte sa victoire lors du triple déca Ironman, un défi extrême comprenant 114 km de natation, 5400 km de vélo et 1266 km de course à pied, soit l’équivalent de 30 Ironman consécutifs. Il explique les difficultés logistiques liées à cette compétition en Italie, où les disciplines étaient réparties sur trois sites, nécessitant un déplacement constant de son matériel. Goulwenn détaille aussi sa stratégie : en natation, il termine avec un léger retard qu’il rattrape ensuite lors des épreuves de vélo et de course à pied, malgré la fatigue et les douleurs. Sa persévérance, sa discipline, et son aménagement logistique précis lui permettent de rester concentré, même dans les moments de découragement. En adoptant une tactique d’endurance, il parvient à maintenir son avance pour finir premier en un peu moins de 36 jours. Goulwenn conclut en encourageant chacun à poursuivre ses rêves, quel que soit le défi, et à dépasser les limites que la société pourrait leur imposer.

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REPORTAGE/INTERVIEW

Reportage avec mon nutritionniste, le Docteur
Jean-Michel COHEN 🥚🍳💪

Viens découvrir à travers cette vidéo, l’interview exclusif avec mon nutritionniste, le Docteur Jean-Michel-Cohen.  https://youtu.be/nJbBYyl4Fb4 Dans cette vidéo, Goulwenn Tristant et le Dr Jean-Michel Cohen discutent de la nutrition adaptée aux exigences extrêmes de l’ultra-triathlon. Goulwenn, trois fois champion du monde, détaille son régime, incluant une forte consommation d’œufs (jusqu’à 18 par jour), et le plaisir de repas comme des tartiflettes ou des cassoulets pendant les pauses, pour maintenir le moral et l’énergie. Dr Cohen explique l’importance d’une alimentation équilibrée en glucides, lipides et protéines, ainsi que des électrolytes pour une récupération efficace et une performance optimale. Ils abordent des stratégies comme la surcharge en glucides avant les épreuves pour optimiser les réserves de glycogène et des méthodes de réparation après l’effort, notamment avec le magnésium et des protéines. Goulwenn souligne l’importance de la visualisation et de la logistique pour bien se préparer mentalement aux compétitions. En vue de son prochain défi, le triple déca ultra-triathlon (30 Ironman), il partage sa passion pour l’ultra-endurance et sa conviction de toujours respecter ses rêves.

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MATERIEL

A quel âge commencer l’ultra-endurance ? 🤔

Viens découvrir à travers cette vidéo à quel âge commencer l’ultra endurance…  https://youtu.be/Gx73Bgo_YSM?si=LccHzmPkrd-5dSDB Dans cette vidéo, Goulwenn Tristant partage son avis sur l’âge idéal pour débuter en ultra-endurance. Il explique que l’important est de bien se connaître et de progresser à son propre rythme. L’ultra-endurance nécessite de l’expérience, et il recommande généralement de commencer par des courses plus courtes, comme des 10 km ou semi-marathons, puis d’augmenter progressivement les distances. Il rappelle que la moyenne d’âge des athlètes en ultra-endurance est souvent autour de 35 à 40 ans, car ce type de discipline demande du temps pour maîtriser son corps et développer l’endurance mentale. Cependant, il encourage ceux qui se sentent prêts à se lancer sans attendre, mais en acceptant les risques d’échec ou de blessure. Goulwenn souligne l’importance d’écouter son instinct et de se fixer des objectifs réalistes, tout en rappelant que l’échec ne doit pas être un frein, mais une opportunité d’apprentissage. Enfin, il encourage chacun à prendre le temps de découvrir différents formats et à suivre un parcours progressif pour éviter les risques, en prenant plaisir dans chaque étape de l’aventure ultra-endurance.

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Le talent existe-t-il vraiment ?

Viens découvrir à travers cette vidéo ma vision du talent dans le sport ! Le talent existe-t-il vraiment ? https://youtu.be/kS0iEYSima8?si=UxEAM2rnDfxqJvGr Dans cette vidéo, Goulwenn Tristant explore l’idée du talent et remet en question l’idée que le succès dépend uniquement de ce don naturel. Il admet que certains athlètes, comme Kilian Jornet, bénéficient de conditions favorables dès le départ, mais insiste sur le fait que la discipline, la répétition et la résilience sont les vraies clés de la réussite, accessibles à tous. Il affirme que le talent initial n’est qu’un point de départ et que c’est surtout le travail acharné et l’endurance sur le long terme qui font la différence. Selon lui, même les athlètes moyens peuvent accomplir de grandes choses en développant ces qualités. Le message est clair : chacun peut se créer son propre talent en cultivant la discipline, en surmontant les obstacles et en restant déterminé malgré les difficultés. Enfin, il encourage les spectateurs à réfléchir à leur propre parcours, à s’investir dans leurs rêves quels qu’ils soient, et à partager leurs expériences.

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De quelle manière commencer ou reprendre le sport ?

Viens découvrir à travers cette vidéo, de quelle manière j’ai repris le sport à l’âge de 22 ans. https://youtu.be/nB3plA23Lrc?si=o8dYOp9d_OMnLakZ Dans la vidéo intitulée « De quelle manière commencer ou reprendre le sport ? », Goulwenn Tristant (alias Monsieur Performance) partage son expérience et ses conseils pour ceux qui souhaitent débuter ou reprendre une activité sportive. Il revient sur son propre parcours, expliquant comment il a repris le sport à l’âge de 22 ans après une période de pause. Goulwenn encourage les spectateurs à surmonter les obstacles, qu’ils soient d’ordre familial, professionnel, ou dus à un manque de motivation, en leur offrant des stratégies pour se remettre en forme. Il espère inspirer ceux qui envisagent de commencer une nouvelle activité ou de se remotiver après une longue pause. Il insiste également sur l’importance de rester motivé et de s’engager progressivement, tout en invitant les spectateurs à s’abonner à sa chaîne pour recevoir d’autres conseils liés au sport et à la performance.

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